Histoires oubliées

Jade, ce soir, avait eu l’autorisation de ses parents pour utiliser l’ordinateur. Elle était contente, aujourd’hui ; elle avait fêté son anniversaire avec un ami, Paul. Ils avaient eu tous les deux sept ans aujourd’hui, car ils sont nés le même jour. Ils s’étaient bien amusés, et maintenant, ils étaient contents. Jade savait que Paul serait aussi sur l’ordinateur. Elle allait pouvoir discuter avec lui. Quand enfin l’ordinateur s’alluma, et que la petite fille put se connecter, elle vit que son ami était déjà connecté.

Jade : salu !
Paul : komen sava depui avan ??
Jade : sava plu
         Non je rigol !
Paul : mé ces pa drole !
Jade : on écri mè pas mé !
Paul : merci

Ils arrivaient à se comprendre malgré la présence de leurs fautes. Un instant passa, personne n’écrivit rien.

Paul : tu sè que cedric veu faire 1 concour ?
Jade : quoi com concour ?
Paul : 1 comcour de dégizemen
Jade : mè se son dé dégizemen de quoi ?
Paul : dé dégizemen dalloouine
Jade : je veu participer !!

Jade aimait bien se déguiser à Halloween pour faire peur aux gens et recevoir des bonbons.

Jade : il fo quon les face ?
Paul : oui on doi pas lé acheter

Les deux amis discutèrent encore pendant un moment. Ils cherchaient comment faire leurs déguisements, et trouvèrent finalement. Ils se donnèrent rendez-vous le lendemain dans la maison de Jade.

Le lendemain, Paul, Jade et les parents de Jade se rendirent dans un magasin pour trouver les matériaux nécessaires pour confectionner leurs déguisements. Ils trouvèrent rapidement et retournèrent à la maison. Avec l’aide des parents, les enfants s’attaquèrent à leurs déguisements, et les finirent rapidement.

Ils arrivèrent, quelques jours plus tard, chez Cédric, avec leurs déguisements.

« Oh, mais ils sont super cools, vos déguisements !
- T’as vu ? » dit Jade, qui est déguisée en sorcière.
« On va gagner, c’est sûr ! » lança Paul, lui déguisé en fantôme.
« Allez, venez à l’intérieur ! »

Les enfants entrèrent dans la maison de Cédric. Dedans, il y avait beaucoup de monde. Les deux enfants n’étaient plus aussi sûrs de gagner. Ils rencontrèrent des autres enfants qu’ils connaissaient, il y avait surtout le grand et méchant Jérémy.

« Salut les nuls ! » lança la racaille. « Vos déguisements sont pourris !
- C’est pas vrai, Arrête de dire n’importe quoi ! » lança Jade.
« Je parie que vous les avez même pas faits vous-même !
- Si d’abord ! On a passé du temps dessus !
- Laisse tomber, Jade. » dit Paul. « Laissons-le et amusons-nous. »

Jade et Paul partirent dans la maison et cherchèrent quelqu’un avec qui jouer. Ils rencontrèrent Chloé, la sœur de Cédric.

« Ah, vous êtes là vous aussi ? » demanda Chloé.
« Oui. » dit Paul. « Cédric nous a invités !
- J’espère que la fête va bientôt finir. » répondit Chloé sans avoir écouté le garçon. « Ça m’énerve tout ce monde. »

Jade et Paul se regardèrent sans rien dire. Puis Cédric réapparut.

« Vous êtes tous là, maintenant on va voter pour le meilleur déguisement ! » annonça-t-il. « Vous devez par contre pas voter pour le vôtre ! Allez, go ! »

Tous les enfants se pressèrent vers des bouts de papier et écrivirent des noms dessus. Jade écrivit le nom de Paul, et inversement.

À la fin, Cédric nota les points attribués aux déguisements, puis déclara :

« Le gagnant est Jérémy ! »

Jade et Paul se regardèrent, déçus. Oh non ! Pas Jérémy ! Le grand méchant avait gagné, et c’était nul. Discrètement, les deux enfants partirent de la maison, ne voulant pas voir plus longtemps le gagnant.

Dehors, il faisait déjà nuit. Normal, pour un mois d’octobre ! Les enfants s’assirent sur une pierre.

« C’est nul que Jérémy a gagné ! » s’écria le garçon.
« Ouais ! » lança Jade. « On avait des meilleurs déguisements que lui !
- Je suis sûr qu’il a fait peur aux autres pour qu’ils votent pour lui !
- Oui, et puis… Oh, regarde ! »

Jade montra du doigt une direction. Il semblait y avoir un enfant, là-bas. Les deux amis se regardèrent, se levèrent et se hâtèrent vers la forme sombre. Ils se rapprochèrent rapidement et constatèrent que c’était bien un enfant, déguisé lui aussi, mais en citrouille.

« Qu’est-ce que tu fais là ? » s’enquit Jade. « Tu es parti de la fête, aussi ? Tu voulais pas que Jérémy gagne ? C’est ça ? »

Un silence passa, l’enfant avait l’air un peu perdu. Finalement, il répondit, avec une voix enfantine, quelque peu lugubre, mais les deux enfants n’y firent pas attention.

« … Oui. »

Voilà. Une réponse toute simple.

« Pourtant, j’ai l’impression qu’on t’a pas vu à la fête, pourtant. » dit Paul. « Et si on y retournais avec toi là-bas ? »

Un silence repassa, puis l’enfant inconnu répondit :

« Pourquoi faire ?
- Pour donner une bonne leçon à Jérémy ! Ton déguisement est mille fois mieux que le sien !
- Ce serait bien ! » dit Jade en sautillant. « Allez ! Accepte !
- … D’accord. »

Les trois enfants se dirigèrent alors vers la maison de Cédric.

« Au fait, c’est quoi ton nom ? » demanda Jade à l’enfant inconnu.

Un silence lui répondit.

« Tu veux pas me le dire ?
- … Jack. »

Les trois enfants arrivèrent dans la maison de Cédric, et Paul prit la parole :

« Il faut revoter pour les déguisements ! On a trouvé quelqu’un qui en a un super ! »

Tous les yeux se tournèrent vers Jack ; ce dernier eut l’air gêné. Soudain, Jérémy arriva, l’air supérieur.

« Quoi ? Un légume pour me battre ? » lança-t-il en jetant un regard vers l’enfant. « En plus, c’est dégueulasse, ces trucs ! »

Le grand et fort Jérémy s’approcha de Jack et lui donna un coup de poing dans la tête. L’enfant tomba par terre.

« En plus, il est nul ! Personne votera pour lui, je suis toujours le gagnant ! »

Jérémy repartit dans la foule, et tout le monde ignora Jack. Jade regarda ce dernier. Il était toujours par terre, mais avait levé la tête en direction de Jérémy. Une lueur haineuse et sanguinaire brillait dans les yeux de Jack, qui fit froid dans le dos à la petite fille.

Eli > Merci ! ^^

Gala > Inspiré de celui de l'image tu veux dire ? Normalement oui, c'est le même ! Sauf qu'à l'époque il avait une forme "enfant" et une forme "adulte" si je me souviens bien, j'ai finalement retiré la forme "adulte" pour laisser que la première x')

Xyria > J'avoue que j'avais déjà fait d'autres histoires ou des sales gosses se faisaient tuer sans pitié (d'ailleurs j'en ai une en tête, je sais pas si je vais la retrouver... A voir quand j'aurais fini de fouiller dans tout mon bac à histoire xD)
Ah, oui, quand j'étais petite (du genre entre 5 et 10) je faisais des histoires gores avec des bébés qui se faisaient enrouler tel des gigots pour ensuite de faire DECOUPER AU COUTEAU POUR ÊTRE BOUFFÉS HAHAHAHA !!! (l'innocence d'un enfant...)

Rivage > Ça fait longtemps que j'ai plus fait de trucs avec comme thème l'horreur, je sais pas trop si j'arriverais à RP dessus ^^"

Quoi qu'il en soit, nous sommes samedi ! (enfin le temps que j'écrive tout ça et que je code le texte il sera minuit passé donc dimanche mais chuuut) Voici la seconde histoire ! Beaucoup plus vieille, elle est bien nulle, vous allez perdre quelques neurones, je vous préviens... !

Histoire #2 : Mitie et Marc : Le magicien

Introduction :

Mitie, l’oie, et Marc, le loup, sont deux amis inséparables. Avec la souris Richka, ils sont heureux. Mais un gros nuage veut détruire leur planète, la Terre, avec Richka… Personne ne sait pourquoi il veut détruire la planète…

Chapitre 1 : De la magie

C’est le matin. Marc est le premier à se lever car il cherche toujours le journal avant que quelqu’un d’autre que lui le lise. Quand il lut la une du journal, il réveilla tout le monde. La rubrique parlait d’un tour de magie ce jour-là à 10h.

« On devrait y aller ! » dit Marc. « Cela devrait être intéressant !
- Peut-être. » hésita Mitie. « Mais Tornado n’a plus frappé depuis cinq mois. C’est bizarre car il frappe tous les jours… Ça pourrait être lui qui a organisé ce tour de magie !
- Mais non, ne te fais pas de soucis ! »

Mitie, Marc et Richka partirent voir le spectacle. Quand ils arrivèrent (après douze kilomètres) le spectacle commença.

« Ceci est bizarre… » pensa Mitie.

Le magicien commença :

« Mes chers amis, bienvenue au Tirpoke ! Je vais vous montrer un tour unique, inoubliable. Mais il me faut un partenaire… »

Il désigna Richka et elle monta sur la scène.

« Maintenant, je vais la faire disparaître ! »

Il la mit dans une boîte, la tourna, l’ouvrit et Richka avait disparu ! Puis, le magicien s’en alla.

« C’était bien non ? » demanda Marc.
« Oui, mais il y a un problème… » répondit Mitie.
« Quoi ?
- On n’a plus Richka ! Le magicien était Tornado ! Je le savais ! »

Tout à coup, le vrai magicien arriva, mais plus personne n’était là. Le magicien s’appelait Orius, un nom mystérieux. Ce gars-là faisait de la vraie magie, pas de la truquée. Ce qu’il détestait, c’était les scientifiques, tous les scientifiques. Mais il haïssait les robots, car il les trouvait méchants. Dès qu’il en voyait un, il le détruisait. Orius rentra chez lui.

Pendant ce temps, Mitie et Marc allèrent donner la nouvelle à Jérémie, une grenouille bleue. Mitie lui raconta tout.

« Bon. » dit-il. « On va alerter toute la ville. Biquette et Crabot vont m’aider. »

Ces deux-là, c’était les autres habitants de cette maison. Biquette, une chèvre, était douce et gentille. Elle avait une amie, Serpilla, qui était sa serpillère. Crabot, une grenouille robot, en avait marre de Jérémie car il mangeait tout le temps. Ce qu’il aimait, c’était soulever des haltères.

« Et nous ? » demanda Mitie.
« Vous allez alerter ceux de l’autre côté de la rivière, y compris ceux des magasins. » dit Jérémie.
« Ok. » dit Marc.

Ils allèrent chez Kabuki, un chat rouge, blanc et violet. Il était grincheux et adorait les sushis. Puis ils allèrent alerter Gérard, un oiseau bleu qui était en train de jeter ses haltères dans l’eau et les repêcher. Puis ils allèrent dans le magasin de Tom Nook, qui comptait son argent. Quand ils sont allés chez les sœurs Doigts de Fée, Cousette coudait avec sa machine à coudre et Layette feuilletait un livre de vêtements.

Mitie détestait maintenant tous les magiciens.

« Si j’en vois un, » dit-elle. « Je le tue !
- Comment ? » demanda Marc.
« Euh… ?
- Alors ?
- Finalement, je vais tuer personne ! »

Suite à cela, ils rirent tous les deux.

Plus tard, à la sortie de la ville, ils virent Orius, le magicien. Il écrasa un petit robot et entra dans la ville, Circa.

« Celui-ci déteste les robots… » dit Marc.
« Et si il voit Crabot ? C’est un robot lui ! » dit Mitie.
« Ah oui, mince ! »

Mais le magicien ressortit aussitôt.

« Ouf ! Il nous a pas entendus, hein Marc ?
- Ouais… »

Les animaux rentrèrent chez eux.

Chapitre 2 : Le robot

Le lendemain, Mitie se promenait dans la rue, triste. Elle vit Orius, à vingt mètres d’elle. Tout à coup, un robot passa à côté de l’oie. Il mesurait à peine 1m10 et pesait au moins dix kilos. Ce robot était gris, avec une antenne sur la tête et des yeux bleus. Il se dirigeait à toute vitesse vers Circa. Orius essaya de le détruire, mais il allait trop vite. Mitie le suivit. Une fois arrivé à Circa, le robot entra dans une grande maison à deux étages. Mitie écouta les paroles :

« Tiens ? Robitus, que fais-tu ici ?
- Je viens de localiser la base du nuage.
- Ah ? Merci !
- De rien Lucile ! »

Lucile… Mitie se souvint de ce prénom… Quand un robot avait volé le pistolet du musée, un loup s’appelait Lucile…

Le robot sortit et puis, une humaine sortit.

« Cela doit être Lucile… » pensa Mitie.

La fille avait les cheveux bruns, les yeux bleus. Elle portait une monture forte. Elle avait aussi une laine polaire, un pantalon bleu et blanc et des chaussures rouge et blanc.

Mitie murmura :

« Lucile…
- Ah ! Salut Mitie ! » cria Lucile.
« Qui était ce robot ?
- Oh, un ami ! »

Galaxie > J'ai juste dessiné la version enfant, dans le dessin que j'avais mis avec le petit texte sous l'histoire ^^

Xyria > Oui je vais éviter d'envoyer des histoires un peu trop gore (je devrais pas en avoir des masses donc ça devrait aller... xD)

Troisième vieille histoire, qui est composée de deux versions : une vieille, et une TRES VIEILLE !! *EXPLOSE*
Avec un petit dessin qui était fait pour la couverture, avec de la perspective et tout ATTENTION !

Histoire #3 : La guérison de la maladie

Chapitre 1 : La drôle de maladie

VERSION 1

Il était une fois une petite fille qui s’appelait Lucile. Lucile avait quatre amis : un simili, un rat d’égout, un rat marin et un geron.

Le simili s’appelait Titeuf, le rat d’égout s’appelait Lou, le rat marin s’appelait Cédric et le geron s’appelait Torent.

Un jour, le facteur Louis L’oiseau dit à Lucile :

« Stavros a une maladie très grave, va le voir. »

Quand Lucile fut entrée dans la maison de Stavros, il n’avait pas l’air d’être malade.

« Je ne suis pas malade, c’est Ethel. »

Chez Ethel.

« Je ne suis pas malade, c’est Chuck. »

Chez Chuck.

« Je ne suis pas malade, c’est Boogy B. »

Chez Boogy B.

« Je ne suis pas malade, c’est Susette. »

Dans la cuisine.

« Je ne suis pas malade, c’est Stavros. »

De retour chez Stavros.

« Je ne sais pas qui a cette maladie. » dit Lucile.
« Ça doit être Et... A… a… atchoum ! »

C’était Stavros qui avait la maladie.

« Il faut trouver un docteur. » dit Lucile.
« Moi, je sais où il y en a un. » dit Titeuf.
« Alors, allons-y ! » répond Lucile.
« Bonjour. » dit le docteur. « Que se passe-t-il ?
- C’est notre ami Stavros, il est malade. » répond Torent.
« Qu’est-ce qu’il a ?
- Moi je sais pas. » dit Lou.
« Je vais voir ce qu’il a. » dit le docteur.
« A… a… atchoum ! » fit Stavros.
« Il a un rhume.
- Est-ce qu’il lui faut un médicament ? » dit Lucile.
« Oui. » répond le docteur. « Un sirop à base de rosée des bois.
- Beurk, je n’aime pas la rosée des bois ! » dit Cédric.
« Ce d’est pas toi qui a le rhube ! » dit Stavros. « En fait ça vient d’où la rosée des nois ? »
« C’est dans la forêt. » dit Titeuf. « C’est les Himara qui ont la rosée des bois.
- Alors, allons-y ! » dit Lucile.

Dans la forêt.

« Je ne vois pas d’Himara. » dit Torent.
« Salut ! » dit une voix. « Ça va ?
- C’est qui qui barle ? » dit Stavros.
« C’est moi, Lili, j’ai plein de rosée des bois.
- Ben… Cobent tu as fait pour avoir doude ces rosées des nois ? » questionne Stavros.

Et Lili raconta comment elle a trouvé les rosées des bois.

« Alors, j’ai dit à tous les Himara que j’ai besoin de rosée des bois. Et comme il y avait tout plein d’Himara, j’en ai au moins mille ! »

Une semaine plus tard, Stavros n’est toujours pas guéri, c’est étrange…

Mardi, il n’y a plus de rosée des bois.

« Est-ce que tu n’es plus malade ? » dit Cédric.
« Toujours bas… » répond Stavros.
« C’est étrange… » dit Lucile.
« Il y a forcément un moyen… ou, peut-être il est allergique à la rosée des bois. » dit Lili.
« Je de suis bas allergique au rosée des nois !
- Je sais pourquoi il n’est pas guéri.
- ????? »

VERSION 2 :

Sur une planète appelée Malade, habitait une fille qui s’appelait Lucile. Elle avait 10 ans. Elle portait des lunettes à bordure violette. Elle avait les yeux bleus, et les cheveux châtain clair/blond foncé.

Cette fille avait quatre amis : un simili, un rat d’égout, un rat marin et un geron. Le simili s’appelait Titeuf, le rat d’égout s’appelait Lou, le rat marin s’appelait Cédric et le geron s’appelait Torent.

Un jour, le facteur Louis L’oiseau apporta une lettre à Lucile. Elle disait :

« Stavros a une maladie très grave, va lui rendre visite. »

Lucile fut surprise de savoir qu’il était malade. Elle enfila sa veste et partit en direction de la maison de son ami, Stavros, qui était un putois.

En entrant dans sa maison, Lucile remarqua qu’il n’avait pas l’air malade.

« Je ne suis pas malade. » dit-il. « C’est Ethel qui l’est. »

Lucile se rendit chez Ethel qui, elle non plus, n’était pas malade.

« Ça doit être Calvin qui est malade. » dit-elle.

Lucile courut chez Calvin qui n’était pas malade.

« Je ne suis pas sûr, mais je crois que c’est mon voisin Boogy B qui est malade. »

Lucile marcha chez Boogy B. Apparemment, lui non plus n’était pas malade.

« C’est pas moi ! » dit-il. « C’est Stavros ! »

Lucile revint chez Stavros. Elle vit ses amis chez lui. Lou dit :

« Tu sais, Lucile, je sais qui a cette maladie.
- Et qui ? » demanda Lucile.
« Atchoum ! » fit Stavros.
« Ha, d’accord ! » râla Lucile.

Lucile, ses amis et Stavros allèrent chez le docteur. Il a fallu attendre une heure avant d’entrer dans la cabine du docteur.

« Bonjour. » dit le docteur.

Lucile expliqua tout.

« Je vais voir ce qu’il a. » répondit-il.
« A… a… atchoum ! » dit Stavros.
« Il a un rhume. » dit le docteur.

La fille demanda s’il fallait des médicaments. Le docteur répondit oui, un sirop à base de rosée des bois.

« Où on trouve la rosée des nois ? » demanda Stavros.
« Elle se trouve dans la forêt. » dit Lou.
« C’est les himaras qui les ont. » continua Titeuf.

Lucile, ses amis et Stavros allèrent vers la forêt.

« Où ils sont, les himaras ? » demanda Cédric.
« Ils se cachent. » expliqua Torent.
« Salut ! » dit quelqu’un. « Ça va ?
- C’est qui qui barle ? » demanda Stavros.
« C’est moi, le petit cochon d’Inde qui vous parle, Lili. Et j’ai plein de rosée des bois, j’ai réussi à en avoir !
- Cobent tu as fait bour en avoir ? »

Lili raconta comment elle avait fait pour avoir toute les rosées des bois.

« Comment Lili savait-elle ça ? » se demanda Lucile. « Elle n’avait pas la lettre… Ou alors c’est elle qui l’a écrite… »

Une semaine plus tard, Stavros n’est toujours pas guéri, c’est étrange… Mardi, il n’y a plus de rosée des bois.

« Est-ce que tu n’es plus malade ? » demanda Cédric à Stavros.
« Toujours bas… » répondit-il.
«  C’est étrange… » dit Lucile.
« Il y a forcément un moyen… » remarqua Lili. « Ou, peut-être, Stavros est allergique à la rosée des bois.
- Je ne suis pas allergique à la rosée des nois ! » cria Stavros.
« Je sais pourquoi il n’est pas guéri.
- Hein ? »

Pas grand chose à dire, mais beaucoup de questions :

- Pourquoi il y a des monstres du jeu Dark Chronicles et des personnages du jeu Worm Blast ?
- Pourquoi le médecin demande ce qu'à Stavros ALORS QU'IL EST LÀ POUR NOUS LE DIRE ??
- Pourquoi Stavros dit qu'il n'est pas malade alors que c'est vraiment lui qui l'est ? Est-ce qu'il a une fierté qui lui dicte de ne jamais dire aux autres qu'il est malade ?
- Pourquoi je décris Stavros comme un putois alors que c'est une moufette ?
- Pourquoi Lili raconte comment elle a eu les rosées des bois juste en disant "Ben j'ai demandé, on me les a donnée !" ? QUEL EST L'INTÉRÊT ???
- Pourquoi à la fin du chapitre il n'y aucune explication qu'une nouvelle personne apparaît pour dire "je sais pourquoi il n'est pas guéri" ? C'est supposé être quelqu'un d'autre ! è-é (bon vous avez les couleurs donc c'est plus facile de deviner, mais sur le texte original y en a pas... et y a des fautes mais j'ai corrigé xD) et la personne c'est censé être le personnage de l'image !

Pour rire, qui veut que j'écrive une troisième version, mais avec ma façon d'écrire d'aujourd'hui ?  

Loin, très loin d’ici, sur une planète dont personne ne connaissait l’existence… Attendez un instant, si personne n’en connait l’existence, comment moi, narrateur de cette histoire, peut la connaître ? Ça ne fait aucun sens ! Bon enfin reprenons ! Cette planète portait le doux nom de Malabia. Ça ressemblait à Malabar, ce qui n’est pas un placement de produit ! Bref, quelque part sur cette planète vivait une petite fille de dix ans, qui s’appelait Lucile. Elle vivait dans une grande maison, entourée d’amis : parmi eux, il y avait Titeuf, un coffre jaune. Mais il n’était pas un coffre tout simple ! En effet, il avait deux bras, et un œil, et des dents pointues ! Il était d’une espèce qu’on appelait Simili. À ne pas confondre avec les Mimics qu’on trouve dans tous les jeux ! Son deuxième ami était un rat d’égout, du nom de Lou. En plus de rimer, cet ami avait une particularité : ce n’était pas juste un petit rat de rien du tout, il était gigantesque, de la même taille qu’un humain ! Et il était de même avec un autre rat, Cédric ; il n’était pas de la même espèce que Lou, mais était un rat marin, une espèce de rongeur ayant l’habitude de vivre au bord de la mer. Enfin, le dernier ami de Lucile s’appelait Torent, il était ce qu’on appelle un Geron. C’était une espèce de poisson vert et jaune, aussi grand que les rats précédents. Attendez une minute… Ces créatures… Ce n’est pas, par hasard, des monstres du jeu Dark Chronicles ? Qu’est-ce qu’ils font là ? Pourquoi ils sont avec une petite fille ? Pourquoi cette petite fille n’a pas de parent ? … ILS L’ONT KIDNAPPÉE ! VITE, IL FAUT APPELER LA POLICE !!! … … Mais la police ne vint pas. Bon bah, continuons notre histoire alors…

Un jour, on toqua à la porte de la maison de Lucile. C’était le facteur, Louis L’Oiseau qui, comme son nom l’indiquait, était un oiseau ! Comme dans Animal Crossing, les oiseaux sont des facteurs ! Il apportait une lettre. Qui était donc l’expéditeur ? Rien ne l’indiquait sur l’enveloppe. Cette dernière ouverte, la petite fille put lire la lettre. Celle-ci disait :

« Stavros a une maladie très grave, va lui rendre visite. »

Lucile fut surprise d’apprendre que son ami était malade. D’ordinaire, cela ne lui arrivait jamais ! Elle enfila sa veste et, accompagnée de ses amis monstres, elle se rendit avec hâte en direction de la maison de Stavros. Elle toqua plusieurs fois à la porte, et personne ne répondait… Quand soudain ! On ouvrit la porte. Apparut son ami Stavros, qui était une moufette, et non pas un putois comme le disait l’ancienne version du texte, apprend un peu tes espèces enfin ! L’animal ne laissa pas entrer la petite troupe dans sa maison ; Lucile se demandait bien pourquoi. En même temps, il n’avait pas l’air d’être bien malade…

« Je ne suis pas malade. » affirma Stavros d’une voix forte. « C’est Ethel qui l’est ! »

La troupe prit congé pour se rendre en direction de la maison de la vieille dame. Si c’était une vieille dame. Je sais plus, je connais plus les personnages de Worm Blast, j’ai la flemme de chercher. Cherchez donc vous-même ! Bon… Il faut que j’arrête de discuter avec les lecteurs et que je narre mieux cette histoire ! Ethel ouvrit la porte, et elle non plus n’était pas malade.

« Ça doit être Calvin qui est malade. » hasarda-t-elle.

Ils se rendirent alors en direction de la maison du petit mouton. En chemin, Lou exprimait des doutes.

« Cette histoire m’a l’air vraiment louche… » dit-il alors. « Je vais voir chez Stavros, je suis sûr qu’il nous cache quelque chose ! »

Le rat d’égout se sépara du groupe pour retourner voir la moufette. Pendant ce temps-là, ils étaient arrivés chez Calvin. Ce dernier n’était pas malade non plus, et était perplexe qu’on dise qu’il était.

« Je n’en suis pas sûr, mais… Je crois que c’est mon voisin, Boogy B, qui est malade. »

Quelques pas plus loin, le groupe put rencontrer Boogy B. C’était un ver de terre géant… Attends, quoi ? Mais c’est totalement n’importe quoi, cette histoire ! J’en ai marre ! Pourquoi on explique rien ?! Pourquoi y a des persos de jeu vidéo ?! Rah ! Puisque c’est comme ça, je me casse ! Débrouillez-vous sans narrateur ! … … … … Bonjour ! Je suis narrateur B ! Je vais continuer l’histoire à la place de narrateur A, si vous n’y trouvez aucun inconvénient !

Boogy B n’était pas malade non plus. Il exprima quelques doutes :

« J’ai cru entendre ma sœur, Susette, éternuer. Peut-être que c’est elle qui est malade ! Elle va tous nous contaminer !! »

Lucile chercha Susette dans la maison. Contrairement à la version 1 de cette histoire, elle ne se trouvait pas dans la cuisine, mais dans le garage ! Avec des outils tout partout ! Les mains dans le cambouis ! SOIS UN HOMME, SUSETTE ! NE TE FAIS PAS AVOIR PAR LES CLICHES MYSOGINES !! … … … Finalement, c’est narrateur A. Je reviens. Narrateur B a pété un câble…

« Ce n’est pas moi qui suis malade ! » dit Susette. « C’est Stavros ! »

Alors, le groupe retourna à la maison de la moufette. La porte était ouverte, et ils purent entrer, cette fois-ci. Lou était avec Stavros. Lucile soupira.

« On a fait le tour du quartier. Je ne sais vraiment pas qui a cette maladie…
- Moi, je sais qui l’a. » lança soudain Lou.
« Ah bon ? Qui ? » interrogea la petite fille.

Soudain, Stavros éternua tellement fort, que toute la maison trembla.

« … Ah, bah d’accord ! Bravo Stavros ! » râla Lucile. « Merci de nous avoir emmenés un peu partout pour RIEN !! »

C’était logique qu’elle n’était pas très contente… Le groupe, accompagné de Stavros, se rendirent donc chez le médecin pour diagnostiquer sa maladie. Il y avait du monde, là-bas. Ils durent attendre pendant une heure, avant de pouvoir enfin passer…

« Bonjour. » dit le docteur. « Que se passe-t-il ?
- C’est mon ami, Stavros. » dit Lucile. « Il est malade !
- Qu’est-ce qu’il a ? » demanda le docteur.
« C’est, genre, pas à VOUS de le savoir ? Vous êtes docteur ou quoi ? » s’énerva Titeuf.

Quelle agressivité !

« Je vais voir ce qu’il a. » dit alors le docteur.
« A… a… atchoum ! » dit Stavros.
« Il a un rhume. »

S’en suivit un silence…

« Sérieux ? Il vient juste d’ÉTERNUER ! » lança le Simili, brisant le silence. « Vous n’avez même pas essayé de voir autre chose. Vous êtes sûrs que vous êtes docteur ? »

Torent lui donna une tape derrière la tê… Ah non il a pas de tête c’est un coffre… Euh… Derrière ! Pour le faire taire, puis il demanda au docteur :

« Est-ce qu’il lui faut un médicament ?
- Oui. » répondit le docteur. « Un sirop à base de rosée des bois. »

Nouveau silence…

« Normalement ce n’est pas ça qu’on donne aux gens qui ont un rhume. » dit Titeuf.

Cédric renchérit :

« Beurk ! Je n’aime pas la rosée des bois !
- Ce d’est bas toi qui a le rhube ! » dit Stavros. « Au faid, on trouve où de la rosée des nois ?
- Dans la forêt. » informa le docteur. « Ce sont les Himaras qui vous les donneront. »

Moment de silence…

« ATTENDEZ ! » reprit Titeuf. « Vous voulez dire que vous êtes docteur, vous diagnostiquez n’importe comment, vous donnez n’importe quoi comme médicament, ET EN PLUS ON DOIT LE CHERCHER NOUS MÊME ?!
- Eh bien…
- PAS D’EXCUSE ! »

Alors, furieux, Titeuf bouffa le docteur… Ben c’est un monstre, un coffre avec des dents. Ça peut bouffer des gens. Ça vous étonne tant que ça ? Tout le monde regardait le Simili avec des grands yeux, sauf Lucile, qui lui donna des petites tapes amicales sur la tê… Ah, pfff…

« Sacré Titeuf ! Toujours à bouffer les gens ! Allez, rendons-nous dans la forêt pour trouver de la rosée des bois ! »

Une fois dans la forêt, ils cherchèrent, partout, mais… Personne ne put trouver d’Himaras. Où étaient-ils donc tous passés ? Peut-être avaient-ils fuis une catastrophe ? Soudain, une petite voix toute mignonne retentit :

« Salut ! Ça va ? »

Tous se figèrent. D’où venait cette voix ? Finalement, ce fut Stavros qui osa demander :

« C’est qui qui barle ?
- Baissez la tête ! »

Tous baissèrent la tête (sauf Titeuf…) pour regarder en bas. Il y avait là un petit cochon d’Inde blanc et noir, avec une petite tache brune. Elle avait un gros sac sur elle et paraissait guillerette.

« C’est moi, Lili ! » continua-t-elle. « J’ai plein de rosée des bois pour vous !
- Ben… Cobent tu as fait pour avoir doude ces rosées des nois ? On a vu aucun Hibara bourtant… » questionna Stavros.

Le cochon d’Inde leva une patte, pour ensuite commencer son explication :

« En fait, je me suis mise au milieu de la forêt, et j’ai appelé à l’aide. Alors, les Himaras sont sortis de leur cachette pour venir à mon secours ! Je leur ai dit que j’avais besoin de rosée des bois pour me guérir, alors tous m’en ont donné un peu, et comme il y avait plein d’Himaras, j’ai beaucoup de rosée des bois ! Tadaaam ! »

Lili montra d’un geste triomphant son gros sac. Tous l’applaudirent. Mais, en même temps, Lucile émettait un doute… Comment Lili savait-elle qu’ils avaient besoin de rosée des bois ? Pourquoi les Himaras se seraient montrés pour elle ? Pourquoi semblent-ils avoir disparus, maintenant ? Tant de questions qui restaient pour l’instant, sans réponse… Le groupe rentra alors à la maison, accompagné de Lili, et ils commencèrent le traitement pour Stavros.  Une semaine plus tard, précisément un mardi, le stock de rosée des bois était écoulé. Et Stavros n’était toujours pas guéri. Voilà qui était bien étrange…

« Est-ce que tu es toujours malade… ? » demanda Cédric à Stavros, pour être sûr.
« Oui… » répondit la moufette, résignée.
« Il doit forcément y avoir un moyen pour le guérir… » dit Lili. « Mmmh… Si ça se trouve, ça n’a pas marché parce que Stavros est allergique à la rosée des bois.
- Je ne suis bas allergique à la rosée des nois ! » protesta Stavros.
« Comment tu peux en être aussi sûr ? »

Une voix retentit alors, une voix qu’aucun des protagonistes n’avait encore entendue jusqu’à présent, qui effraya tout le monde, et laissa planer de nombreuses interrogations.

« Tout prend son sens… Je sais pourquoi il n’est pas guéri. »

Sahara a écrit:

Loin, très loin d’ici, sur une planète dont personne ne connaissait l’existence… Attendez un instant, si personne n’en connait l’existence, comment moi, narrateur de cette histoire, peut la connaître ? Ça ne fait aucun sens !