Deuil et rencontre...

Ombre se mis à embrasser Xyria et lui dit:

Je t'en prie mon amour, je serais toujours là pour toi

( Xyria, je pensais faire parler Acerbe ( quand il te demande si tu as été offensé ) en rapport avec ce qu'il a dit plus tôt avec Sywah, s'il t'avait du mal, pas lire dans les pensées. Mais c'est ma faute, je n'ai pas assez précisé, désolée ! :/ )

Il observait les deux dragons avec douceur, esquissant un sourire. Leurs pensées étaient mêlées d'amour, rien n'était obscur; ils s'étaient changé les idées.

-Eh bien, je pense qu'il est temps de rentrer pour moi; ainsi que pour vous, certainement. Nos trois rangs ne sont pas de tout repos ! Voudriez-vous que je vous raccompagne au palais, ou restez-vous ici quelques temps ?

Foa entrouvrit un oeil quand Imissaire s'approcha.

(Oh, pardon, effectivement je n'avais pas compris ^^')

-Non, effectivement, admit Xyria lorsque Acerbe dit que leurs rangs n'étaient pas de tout repos.

Elle ne s'était bien évidemment pas attendue à se reposer, en devenant reine, mais il était vrai que c'était un travail dur qui lui demandait beaucoup de temps, et surtout de l'apprentissage.

Elle pensait toujours à Sywah, mais la présence de son compagnon, ainsi que sa rencontre avec Acerbe, l'aidaient à se changer les idées. C'était un dragon qui semblait être plein de vie. Que ce soit pour rentrer au palais, et là elle laissait le choix à Ombre, ou pour rester sur la plage, elle répondit à Acerbe :

-Votre présence me fera plaisir.

Pour Imissaire, en revanche, c'était un autre histoire : dès qu'elle vit l’œil fendu du félin s'ouvrir, elle sursauta en poussant un couinement effrayé et recula. Xyria baissa les yeux et commenta :

-Votre animal est intéressant...

(désolé pour le temps de réponse xD)

Ombre ne fit pas de commentaire, il laissais les 2 dragons discuté.
Ombre se mis à caresser la joue de sa compagne en vue de son commentaire à son sujet

Ombre observa le panthère de Acerbe qui n'arrêtais pas de tourner en rond depuis un moment.
Il entendait aussi ses rugissement qui voulait dire qu'il avait faim.
Acerbe l'autorisa à chasser.
Un moment Xyria fit une remarque à son mâle, Ombre se mis à sourire et répondit:

euh.. hé bien non, je ne trouve pas que vous êtes sévère hé hé hé

Puis Xyria se mis à rire en regardant Acerbe et fit savoir qu'elle n'a pas l'intention de commander les animaux, Ombre non plus d'ailleurs .....

Puis Ombre vu que la petite renarde couiné, Xyria se mis à faire une remarque et un petit clin d'oeil....

En feuilletant les pensées de sa reine, Acerbe ne fut pas surpris, même plutôt fier, que celle-ci aie oublié son malheur face à lui. Il s'arrêta sur un détail qui l'engoua.

Elle m'apprécie. Ma reine m'apprécie... Ma reine m'apprécie !

  Elle s'envola en un tourbillon rougeoyant et le devança. Qu'elle allait vite, Xyria ! Elle prit une position qui fit luire ses écailles d'un rouge éclatant, la parant de doré. Elle prit alors un air féroce mêlé d'amusement, et déclara :

—  Je t'interdis de te mettre au-dessus de moi !

  Puis un rictus taquin apparut au coin de ses "lèvres" de dragonne, et elle reprit :

—  Pas parce que je suis la reine, mais parce que aucune race de dragons n'est meilleure en vol que les ailes du ciel. Na !

  Elle tira sa langue fourchue typique des dragons. Il ne manquait plus qu'elle face le geste associé à l'expression "mon oeil", et tout collerait !

—  Et moi, je suis conseiller, et en plus Aile de Nuit ! Je vois... Je vois... ! Je vois que je vais vous dépasser !, fit-il en s'empressant de monter un échelon au-dessus de sa reine. 
  Il exerça même son tour préféré : une pirouette, un looping suivit d'un tournoiement, puis, il ouvrait ses ailes afin de s'arrêter net dans les airs; car une bouffée d'air claquait souvent à ce moment là, afin qu'il plane complètement. Ensuite, il descendait en piqué et remontait très rapidement, en zigzags étroits.

—  Pourriez-vous enchaîner de si belles pirouettes ?

  Taquin, son sourire toujours collé à ses lèvres, il bomba le torse et cracha même une gerbe de flammes. Aussi, il redressa sa queue pointue vers son ventre, le menton relevé et les ailes bien déployée. Tester une reine, était-ce une mauvaise chose ? Pas pour jouer, en tout cas ! Et pas pour cet amour de Xyria, qui était belle et bien la reine, la seule adepte à monter sur le trône. 

Ça, pour être fort, c'est fort !

(je passe mon tours, pas trop d'idée)

(D'accord. Xyria, à toi ! ^^)

(Pas de souci, Ombre ^^)

"Tester une reine était-il une mauvaise chose" ? Ça dépendait de la reine, je suppose. Mais défier une dragonne comme Xyria était l'un des meilleurs moyens de remonter dans son estime : elle aimait s'amuser, surtout dans les airs, rien n'était meilleur, à ses yeux, qu'une bonne série de pirouettes dans le ciel et un challenge. Elle observa le dragon faire son malin, sa pirouette, son looping, sa chute, sa remonté, et finir par sa pause. Xyria prit un air faussement sévère et lui dit :

-Pas mal, petit. Mais même avec tous vos pouvoirs, il y a des choses que les ailes de nuit ne peuvent pas faire. Je peux faire la même chose, et même plus !

Elle se mit à battre des ailes à toute vitesse et monta haut, très haut dans le ciel, jusqu'à se que le froid lui comprime les poumons, à la limite d'être trop haut pour survivre. Alors elle rabattit ses ailes contre ses flans et se laissa tomber.

Le museau vers le bas, droite comme un I, elle tombait vers le sol en prenant de la vitesse à chaque seconde. Si elle se ratait, nul-doute qu'on ramasserait son corps en bouillie à la petite cuillère... avec la guerre qui se préparait, mourir aussi bêtement serait un comble. Mais elle n'était pas une débutante, elle avait fait ça de très nombreuse fois. Avant qu'il ne soit trop tard, elle déploya ses ailes qui claquèrent au vent, à la limite de se déchirer. C'était douloureux, mais tellement agréable de se dire qu'on avait réussi cette cascade. Poussée par son élan, elle remonta en chandelle en direction de Acerbe aussi vite qu'elle était tombée, et elle entama sa figure favorite  : la vrille.

Xyria se mit à tourner à toute-vitesse sur elle-même, et en même-temps, elle cracha le feu. Une pellicule de vent née du tournoiement la protégea, et les flammes la couvrirent entièrement, la transformant en une tornade de feu qui fendait le ciel comme une comète. Elle dépassa Acerbe, et s'arrête au-dessus de lui. Le feu disparu petit-à-petit, et il put voir une Xyria essoufflée, mais haute et digne, visiblement fière d'elle. Ses écailles fumaient comme celles de Péril lorsqu'elle se mettait en colère.

-Alors, demanda-t-elle après avoir reprit son souffle : penses-tu pouvoir en faire autant sans utiliser de magie ?