Le grand stratégiaire
chapitre 1 : le MJ-12
"Police !" cria l'agent dans la pièce faiblement éclairée. Dans cette même pièce une demi douzaine de pistolets étaient braqués partout, des armes quelconques mais suffisamment petites pour être dissimulées dans une poche. L'agent fouilla la pièce du regard : pas de vêtements, des vieux meubles, des cartons renversés. Il était parti... Le prétendu policier se retourna, il était surtout embêté de devoir l'annoncer à son supérieur. Qu'est-ce qui pouvait obséder le chef de la NSA, il se le demandait mais il n'était pas plus intéressé, il connaissait les règles de n'importe quelle agence : ne pas parler et encore moins quand ça concernait des personnes haut placées. Il soupira et dit à ses hommes de s'en aller.
A quelques kilomètres de là, une petite voiture roulait à 90km/h sur une petite route isolée d'Argentine. L'homme en question était énervé et résigné, sa résignation était facile à comprendre c'était la 4éme fois qu'il échappait à des hommes de la NSA. Il était traqué mais son énervement, lui, était dirigé pour ceux qui arrivaient à le trouver où qu'il soit. Il devait changer, changer de quoi ? de tout : de visage, de vêtements, de nom, de planque, de ville, et dire que une semaine auparavant il était un homme avec une promotion lui tendant les bras dans un bureau de Londres. Il s'occupait des transactions de la CIA et on lui avait proposé sa promotion mais en échange il devait revenir sur le terrain. Oh, il y était allé, ça s'était sûr, il était un tueur, un tueur entrainé mais l'organisation à laquelle il s'en prenait était puissante plus que la CIA, la CIA qui (d'après ses dernières informations datant de quelques heures) s'était à présent emmurée, coupant tout contact avec cette affaire et donc avec l'homme, et s'alliant avec les patrons puissants du FBI lui aussi intéressé par la NSA et son patron caché. Il soupira, il avait réussi à s'introduire dans un petit centre d'information la nuit et avait réussi à dérober les documents mais le matin grâce à la bonne informatique que la CIA lui avait fourni il avait deviné des agents montant vers sa chambre il avait filé habilement sans se faire voir et abandonnant les documents. Il s'était échappé du bâtiment, il était un excellent agent, il arrivait donc toujours à en échapper mais il savait que ce qu'il fuyait pour l'instant, n'étaient que les fantassins, il se préparait car quand la NSA se serait informée sur son compte elle le traquerait avec ses agents les meilleurs.
Il s'arrêta, il avait vu dans son rétroviseur une Mercedes noire un peu après une de ses échappée. C'était une coïncidence trop grande ; il tourna et prit un petit chemin ce qui lui servait à deux choses : la première, il saurait si on le suivait car aucun autre chemin ou route n'allait dans la même direction et deuxièmement c'était un terrain où les deux voitures étaient à égalité. Il tourna, la Mercedes aussi, soudain il appuya de toutes ses forces sur l'accélérateur et démarra en trombe, l'autre voiture fit de même mais en dosant sa puissance pour ne pas subir de dégâts importants et être hors course, en regardant dans son rétroviseur, il aperçut la vitre de l'autre voiture se baisser et une main tenant un revolver dernier cri apparut.
"m****", dit il. Il se baissa mais devant lui un camion qui était sûrement blindé venait d'apparaître. Il relut le plus rapidement les possibilités dans sa tête : la meilleure était d'arrêter sa voiture et de combattre les hommes. Il fit crisser ses pneus sur la terre et s'arrêta, la voiture derrière lui aussi. Il sortit car s'il restait dans la voiture, dans le cas d'une fusillade, il était foutu. Trois hommes sortirent de la voiture derrière lui, deux du camion et une dizaine des bois. Il était consterné : si c'était la NSA comme il avait cru, il n'y aurait pas eu de tel déploiement de forces sauf si ces documents étaient si importants. Il savait que si ce groupe essayait de l'attaquer, il ne ferait pas le poids, il aurait au mieux le temps d'en blesser un. Il les observa : ceux de la voiture ressemblaient plus à des agents, les autres avaient une tenue de commando militaire sans nul doute efficace et des armes à viseur infrarouge. Soudain un individu en costard sortit du camion. Immédiatement, six du commando allèrent se placer à ses côtés il s'avança vers l'agent Blaks de la CIA. Sa seule arme était dans sa poche, visible. Quand il fut assez proche, l'homme lui dit d'une voix fluide et grave : "Connaissez vous le MJ-12, Blaks ?"
fin du chapitre
chapitre 2 : Artémis Fowld
le jour se lever sur le collège de Bellevue atémis alla prendre son sac a dos dans son casier comme beaucoup il était un enfant de 13,14 ans il avait des cheveux cheveux a demi long d'un clair très pur il portait un joguigne noir des basquet blanche et un pull tee-chert blanc son père avait disparue quelque jours aprés que sa mère soit enceinte il avait di qu'il allait au magasin il avait un gros sac sur l'épaule lui avais raconté sa mère la sonnerie avait retentie et il se ata ver sa classe le professeur avait laisser sa place a un enseignant d'un autre collège qui nous expliquer des tas de trucs il n'y comprener rient soudain la porte s'ouvrit et trois homme entrére ils était abiller normalement pantalon tee chert
-Artémis Fowld dois rentrer chez luis de toute urgence sa mère a eu un accident dit un des hommes
-qui ete vous dit l'autre professeur il dit cela avec une voie grave et menaçante la classe fut s'urprise quelque seconde auparavant il espliquer tranquillement un probléme de mathématique et a present faisait face a ces inconnu
-et vous pas, professeur j'imagine dit le porte parole du groupe
-je ne croie pas dit le professeur ou par son prénon Clarence Amalric en plongent ver sa sacoche et en sortant une arme pendant ce temp un des hommes avec un sac sur l'épaule sortie deux pistolet mitrayeur et un fusil clarence ou le professeur avait prit un pistolet automatique avec silentieux on senté que cette arme était aussi puissante que celle des autre les éléve crièrent et quitèrent la classe le professeur de la clace également mais Artémis lui était paralisé sa poche semblai soudain faite de plon au pris d'un effort il en extirpa la montre au yeux de rubis qu'il gardait de puis tout petit. du cotée des hommes il avais pour l'instant choisit de se batre a main nu pour ne pas blesser les élève pas par bonté d'âme mes car l' un deux posséder un précieux objet alors l'un de prit son pistolet et tira ver Clarence il se précipita ver le fon de la classe et se jeta au sol juste a coté du garçon une pluie de projectile l'acompagna et plusieur arrivèrent sur eux soudain la montre souvrit et les deux étoile clignotèrent , un éclat de lumiére se fit alors et quand il se dissipa Clarence et Artémis le professeur et le garçon se retrouvèrent englobé d'en un globe de lumière jaune et trensparent .
collège Bellevue salle 214 10h un objet inestimable et dangereux dans les mains d'un élève ne fais pas de mal à aucun élève tu t'appelle Vincent tu est un professeur du collège de Toulouse le MJ-12 est impliquer fait attention au fait fait attention a l'objet en question manifeste toi si n'esseser et prend lui la montre le gamin s'appelle Artémis Fowld tu passe a l'action aprés les cours fait attention a toi minos.
message sur ordinateur de minos de la par du grand stratégiaire
fin du chapitre