Marécage - Aile de Boue

Les deux cornes sur sa tête sont assez courtes mais épaisse, d’une couleur tirant vers le marron foncé. Son visage reste dans le marron clair avec d’autres partie de son corps sur une teinte verte. Il a quelques cornes dessus sa tête. Il a les yeux verts, enfin, de bons yeux verts comme une langue fourchue. Il a une grande taille, ayant une carrure assez imposante et assez large, même pour une aile de boue.

Il ne possède pas d’objet, hormis juste qu’il est débrouillard et confectionne des objets comme ceux environnant pour pouvoir chasser.
Il n’a rien de plus, à part uniquement sa force et ces robustes écailles qui lui sont bien familière à lui, à devoir survivre dans le climat d’un marécage. Il est en autre fortement résistant ; ses écailles sont d’une texture semblable à de la pierre, et la résistance à de la pierre à qui s’amuse à taper sur un rocher. En outre de sa grande résistance, il possède une grande force, bien assez pour pouvoir faire voltiger un dragon de la même taille que lui, sans une autorisation au préalable de ce dragon, et sans même que ce dernier use de ces propres ailes pour pouvoir voler.
Comme pour ses frères et sœurs, ils ont finalement peu de contact, et n'ont pas beaucoup d'intérêt à participer à la vie extérieur, si ce n'est pas circonstance. Sinon, il préfère rester dans son marais et fait un peu ses propres règles.

Marécage est un dragon courageux. Il pense le bien pour le bien des autres, le rendant parfois un peu têtu, si ce n’est qu’un peu naïf à toujours vouloir tout faire. Malgré son courage, il est un peu marqué par la stupidité, comme marquer par sa carrure qui utilise et jouer dessus pour aider, dans le bon sens du terme ou dans le mauvais quand il s’agit de l’étourderie.

Il est simple d’esprit et très honnête, plus à l’image d’un dragon simplet, restant plus comme un grand frère dont l’état d’esprits d’un protecteur d’une Grande-Aile l’a construit. Il est toujours loyal de ces décisions en espérant de ne devoir pas trahir sa parole. Ainsi, c’est plus un dragon sérieux qui reste assez intransigeant sur les règles, mais en même temps, un poil stupide sur les décisions prises, d’où l’aide régulière de ses frères et sœurs. Il est à l’image d’un « robuste dragon » qui agit et réfléchit par sa grande force, voir agir trop et ne réfléchit pas assez.

De sa naissance, bien sûr, il ne connaît pas ces parents ; il est le Grand-Aile de ces frères et sœurs, nés dans un marécage boueux et perdu, dans le royaume des Ailes de boue. De ces frères et sœurs, il en a trois, tous nées dans la même boue de ce marécage d’où son nom.

Le marécage est devenu un peu leurs lieus de vie avec le temps pour ces quatre dragonnets. Marécage n’est rien de plus que le Grand-Aile, le chef de cette mauvaise troupe, certes, assez abandonné dans leurs sorts mais solidaire et efficace pour vivre, enfin pour manger aussi. Ils ont une vie simple, se tenant coude à coude pour pouvoir tenir leurs appétits bien assez voraces d'aile de boue.
Malgré l’isolement, la vie est plutôt précaire dans cette espace vert et affamé par les plantes et les herbes ragoûtante de ce marécage qui ne pourrait plaire qu’à bien des égards, à ceux qui y viennent traîner dans la boue ; elle est aussi peu ravissante pour les papilles voraces des quatre écailleux, avec les fruits ou des plantes nauséabond du marée, comme la boue omniprésente de l’endroit qui empeste l'espace. Il fallait bien que le Grand-Aile puisse chasser les proies pour bien nourrir et s’alimenter, comme le reste de son groupe. Les quatre dragonnets suivent ainsi Marécage, un peu au grès du vent comme au tentative de relation qui se maintient un peu infructueux avec d’autres dragons de leurs mêmes espèces. Ces derniers ont finalement peu de chose à faire des événements autours de leurs royaumes.
Le marais est un lieu calme, et Marécage aime le calme malgré les turbulences de ces trois frères et sœurs, mais cela n’empêche pas les mauvaises rencontres arriver.

Si le calme tenait à un soupir, alors il a décidé passer un bon coup de vent comme de voltige pour les ailes du Ciel qui on a décidé de s’en prendre physiquement à ses frères et sœurs. Il n’a bien suffi longtemps pour ces ailes du Ciel, de s’en prendre à ces quatre dragonnets au cœur de cette espace nauséabond.
Pour Marécage, ce n’est pas que ces frères et sœurs sont un problème pour un grand frère comme lui, mais voir des gens de sa famille capturer, alors qui doit les défendre, c’est bien la colère après le dénis de les avoir perdu qu’il décide d’affronter les ailes du Ciel,. Alors le vent qui semble emmener Marécage dans la tempête, c’est celui des souffles de flamme sur lui, des ailes du Ciel qui transporte les trois ailes de boues dans leur royaume.
Et c’est bien aussi ainsi que Marécage, solide et finalement, que les coups des ailes du ciel n’affectait pas l’humeur et son courage pour sauver ses frère et sœur, qui leur a appris à ses derniers, le souffle d’une patte, et l’existence qu’il n’y a pas forcément besoins d’aile pour pouvoir voler dans le ciel. Il se bat seul contre ses quelques ailes du Ciel, qui, impressionner par sa démonstration de force, décida de déguerpir au plus vite, par peur de ce personnage assez hors normes dans son marécage. Ils ont compris que Marécage les suivra jusqu’à leur royaume s’il le faudrait, et les ailes du Ciel laissent ainsi sa famille tranquille. Enfin, un de ses frères, le plus petit, Bourbier, fût embarqué par les ailes du Ciel, alors que Marécage doit s’occuper des plaies de Mangrove et Terre.

Le marécage boueux est devenu une maison avec le temps, mais ce n’est plus qu’une famille au complet, manquant un membre alors qu’il semble avoir faillit dans le travail de Grand-Aile pour lui. Avec ces deux confrères, frère et sœur, il souhaite partir à la recherche de son petit frère manquant, pour le récupérer avec eux, enfin, surtout Marécage, car les deux frères restent des garnements bien coquin.