Le Foyer de Xyria

Le dragonnet répondit à sa mère concernant sa proposition, Flammèche elle venais d'entendre la voix chaleureuse de la voix douce.
Elle commencer à s'inquiéter, mais sentis qu'il avait aucun danger et elle continua à marcher prudemment.
Quand Flammèche vu la Grand mère, elle fut choqu", la Grand mère le sentait, elle jeta un sourire chaleureuse.
Puis elle fit une supposition, une petite dragonnette fit une remarque et tout les dragonnet mâle se mis à pritester.
La Grand mère se mis à les sourire et elle dit:

Oh ne dite pas sa, les mâles on juste tendance à vouloir des confirmation, c'est dans leurs nature, mais par contre les femelles on tendance à être trop lent à venir dans un endroit se mis a taquiner les dragonnets femelle et en tout regardant Flammèche.
Puis elle répondit à Flammèche:

Approche mon enfant, n'es pas peur, je suis bien la Grand mère.
Viens t'installer sur mon flanx proposa t'elle en leva son ailes.

"Dieu pardonne, pas moi."

La dragonnette leva le museau vers sa mère à sa réponse. Elle savait qu'elle la taquinait, mais elle lui répondit quand-même :

Je ne suis pas d'accord, mère. Si nous sommes longues à arriver, c'est parce que nous sommes plus prudents que ces patauds de mâles, c'est tout.

Les dragonnets recommencèrent à protester, et la dragonnette se tourna vers eux pour leur tirer la langue. Elle les provoquait exprès, et il arriva ce qu'elle voulait : ils se mirent à la poursuivre. En riant, la petite se mit à fuir et plusieurs dragonnets passèrent sous Flammèche, qui dut lever les pattes en faisant très attention pour ne pas tomber pour ne pas les écraser, en la suivant. Finalement, très vite, cela se changea en une course poursuite générale entre les dragonnets et les dragonnettes qui, lorsqu'ils se retrouvaient dans les pattes les uns des autres, roulaient au sol par paquets de deux à cinq en se battant à coups de chatouilles. Rapidement, plus aucun dragonnet ne somnola et tous se mêlèrent au jeu. La couveuse était bien plus bruyante, maintenant. Seuls les œufs restèrent immobiles...

Flammèche observa les dragonnets s'amuser. Normalement, elle aurait sourit, attendrie, mais elle était trop inquiète : si la grande mère l'avait faite venir ici, c'était forcément pour lui parler de ce qu'il s'était passé, et elle avait peur ce qu'elle allait lui dire. Pourtant, elle l'invitait à venir s'installer sur son flan... donc, en toute logique, elle n'était pas aussi fâchée que ça, si ? La dragonne ne savait que penser. Timidement, et faisant attention à ne pas écraser les dragonnets qui couraient autour d'elle, elle s'approcha de l'immense dragonne, aussi grande que lui avait semblée sa propre mère à la naissance. Elle s'allongea contre son flan sans la quitter des yeux...

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Et merci énormément à tous les autres artistes ayant fait des œuvres sur ma dragonne, que je garde tous précieusement =)

La dragonnette montré son désaccord envers sa mère, cette dernier se mis bien à la regarder avec le sourire et répondit:

Oh mais les mâles aussi, mais les mâles sont plus sensible dans le fond tout simplement.

Les dragonnets se mis à jouer tout ensemble, la Grand mère ne disais rien et attendais Flammèche qui vienne se mettre contre elle.
Elle laissa ses dragonnets s'amuser, mais faisant attention à se que ses petites ne face pas tomber sa fille Flammèche.
Un moment, Flammèche s'approcha doucement en faisans attention aux dragonnets.
Puis elle s'installa près de la Grand mère sans quitter des yeux.
La Grand mère se mis à la sourire et s'adressa à Flammèche:

Comment sent tu ma chère fille ?

"Dieu pardonne, pas moi."

La grande mère observa sa jeune fille et lui annonça que les mâles étaient eux-aussi prudents. Ils étaient cela-dit plus sensibles. La dragonnette n'en doutait pas... en fait, elle avait déjà cru la première remarque de sa mère, bien qu'elle avait dit le contraire. Mais elle avait protesté parce qu'elle voulait s'amuser à se poursuivre et à se battre, alors elle l'avait dit pour provoquer les dragonnets. Elle regarda sa mère en lui souriant largement, les yeux brillants, pour le lui faire comprendre.

Cela-dit, les dragons n'aimaient pas non-plus qu'on dise d'eux qu'ils étaient sensibles. Plusieurs protestèrent à la grande dragonne :

C'est pas vrai, mère !

Avant que les dragonnets et les dragonnettes ne commencent à se pourchasser. D'ici quelques minutes, ils seraient totalement abandonnés à leur jeu et oublieraient de quoi tout-ça avait commencé.

La grande mère opéra pour Flammèche comme elle l'avait fait pour les trois autres : elle lui demanda simplement comment elle allait. La dragonne baissa le museau... elle avait l'impression d'être une dragonnette prise en faute par sa mère... c'était plus ou moins le cas, en fait. Elle répondit :

Bien...

Physiquement, tout du moins. Mais moralement... :

... et mal à la fois.

Plus encore que les autres. Ils avaient participé, mais c'était elle qui les avait entraînés, tout-ça pour ce faux amour qu'elle croyait partager. Elle était plus fautive encore que les autres. En fait, tout était de sa faute.

Mes amis et moi avons agressé un dragonnet. Mais eux ne sont pas responsable. C'est moi qui les ai entraînés...

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La Grand mère savait bien que sa petite dragonnette plaisanter, elle lui fit un un sourire et se mis à caresser sa petite dragonnette.
Elle fit une remarque concernant les mâles, tous protester, la Grand mère les souris et répondit d'un ton charmeuse:

Ah oui ? pourtant vous ne résistez pas au câlin et vous en demandez parfois hé hé hé hé

Les dragonnets se mis à joué tout ensemble, Flammèche se mis à s'approcher, à s'installer et répondit à la Grand mère.
Elle avoué son mal être de se qu'elle à fait, la Grand mère se mis à répondre:

Je sais bien ma fille, j'ai tout vu, mais dit moi, pourquoi avoir fait sa ? elle le savait mais elle voulait voir la réaction de Flammèche.

"Dieu pardonne, pas moi."

Flammèche ouvrit grand les yeux : elle voulait qu'elle lui explique pourquoi elle avait fait ça. C'était clair, mais c'était difficile. Jusqu'à présent, les rires et les jeux des dragonnets autour d'eux avaient su consoler les visiteurs... mais pour la dragonne, c'était plus compliqué, et malgré le bruit qu'ils faisaient, elle avait oublié leur présence. Elle n'osait même plus regarder sa mère, baissant honteusement le museau. Et elle dit :

Il avait dénoncé le dragon que j'aimais, à ce moment-là. J'étais en colère. Je le voyais comme un mouchard. Et surtout, je savais que c'était ce que Couteau voulait, alors je l'ai fait.

Elle se mit à gronder et secoua la tête. Ce n'était pas dédié à la grande mère. Elle était en réalité en colère contre elle-même...

J'ai été stupide ! Stupide et brutale ! Je n'ai pas réfléchi, j'ai agi sur un coup de tête. Tout ça pour ce sale lézard de dragon qui au final s'est retourné contre moi et a essayé de profiter de ce malheur pour se faire bien voir.

Couinant, elle posa le museau au sol, les yeux grands ouverts. Une dragonnette de tout juste un an s'arrêta et, essayant de la consoler, lui caressa la museau.

Je le déteste,

termina-t-elle, parlant de Couteau.

Et je me déteste ! Je suis tellement désolée ! Je voudrais tant pouvoir revenir en arrière...

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Flammèche se mis à répondre à la Grand mère avec honnêteté.
Malgré que Flammèche s'enerve pour s'engueuler elle même, elle s'insulter aussi.
enfin elle ne se faisias que du mal et montré ses regret.
La Grand mère sais qu'elle disais la vérité et elle dit en caresant le dos de Flammèche:

tu regrette et je le crois ma fille, tu es pardonné, toi et t'es amis.
Maintenant que compte tu faire mon enfant ?

"Dieu pardonne, pas moi."

Oh, la pauvre,

marmonna la petite dragonnette qui avait caressé le museau de Flammèche.

Elle souffre tellement dans son cœur...

Elle releva des yeux tout tristes vers sa mère, malheureuse pour cette pauvre mortelle. Flammèche, elle, cessa un instant de se lamenter pour regarder la dragonnette qui avait les couleurs des ailes de sable. Tout les petits vivant ici étaient-ils aussi... conciliants ? Elle eut au moins le mérite de lui changer un instant les idée.

Mais rapidement, un dragonnet trouva cette petite qui ne participait pas à leur jeu et lui sauta dessus, la giflant gentiment de ses ailes et lui chatouillant le ventre. La dragonnette oublia la mortelle et, riant, partit à la poursuite de son frère, qui venait de s'enfuir. Flammèche cligna des yeux... puis releva le museau vers la déesse, qui lui parlait.

Elle lui pardonnait... oh... la dragonne rouge avait du mal à cacher sa joie. Comme n'importe quelle dragonnet le ferait avec sa mère, elle se mit à la câliner, et lui dit :

Oh, merci, grande mère ! Je promet de ne plus vous décevoir !

Ce sentant un peu retrouver de sa confiance, elle lui répondit :

Je vais... je vais épouser le dragon de ma vie, je vais donner la vie, moi-aussi, et je ferais de mon mieux pour défendre mon clan et protéger chaque dragon afin de me faire pardonner.

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La Grand mère se mis à répondre à la remarque de sa dragonnette, tout en caressant Flammèche:

Oui, c'est pourquoi je pardonne cette dragonne, elle n'a pas voulu faire du mal au fond d'elle et c'est laisser abusé.

Puis la dragonnette se mis à se faire embêter par l'un de ses frère et se mis à joué aussi...
La Grand mère souris envers ses dragonnet et repris sa discusion avec Flammèche.
Cette dernière se mis à remercié la Grand mère en la calinant, la Grand mère se mis à caresser sa fille pour la soutenir.
Flammèche se mis à répondre à la question de la Grand mère, cette dernière sourit et répondit:

C'est une bonne idée pour toi ma fille, puis.... je remarque que ton dragon Blood et toi vous n'avez pas perdu votre temps.
Vous avez une sacrée nuit tout les deux elle fit un clin d'oeil avec le sourire et elle ajouta:

Je ferais en sorte que ton liens avec lui seras parfaite, toi et t'es amis, vous êtes pardonnez.
Tachez à ne pas recommencer cette fois.

Elle pouvait etre douce la Grand mère, mais aussi méchante, mais elle avait de la patience, une patience divine.

"Dieu pardonne, pas moi."

"Une sacrée nuit"... Flammèche baissa légèrement le museau, mais cette fois-ci, ce fut en souriant et en rougissant. Elle promit :

Oh non ! Je ne suis pas prête de recommencer ! Je vous le promets !

Et la discussion entre les mère et ses quatre enfants sembla terminée. Cela-dit, si elle possédait la patience et le don du pardon, tous les dieux ne l'avaient pas...

Quelque-chose changea, soudainement, dans la couveuse céleste. Flammèche perdit son sourire et regarda autour d'elle : est-ce que c'était elle, ou la température avait soudainement chuté ? De la buée blanche sortit de son museau. Elle avait l'impression d'être sur le territoire des ailes de glace. Les dragonnets, jusque-là piaillant et courant partout, joyeux, s'étaient immobilisés. Ils tremblaient, couinaient... certains restèrent où ils étaient en regardant autour d'eux, d'autres partirent se cacher dans des nids de la couveuse, près des œufs. Flammèche ne comprenait pas : ils étaient dans le royaume de la grande mère. De quoi avaient-ils si peur ? Ici, aucun mal ne pouvait leur être fait.

La lumière divine diminua, et un vent violent se leva. Flammèche leva les yeux : le ciel, jusque-là d'un éclat lumineux pure, s'était transformé en ce qui ressemblait à un énorme nuage d'orage, zébré d'éclairs rouges. Il tourbillonnait sur lui-même, tel un trou noir.

Grande mère,

demanda Flammèche, criant pour couvrir le bruit des bourrasques et du tonnerre.

Que se passe-t-il ?

Et le nuage noir descendit vers le sol en prenant la forme d'une tornade, comme pour répondre à sa question. Une fois à-terre, il se condensa, changea de forme, et prit soudainement celle d'un dragon aussi grand que l'était la grande mère. Son corps entier avait garder la texture du nuage noir, toujours mouvante et régulièrement zébrée d'un éclair. Deux yeux rouges sang brillaient sur ce qui formait sa tête. Impossible de déceler la forme de ses naseaux ou de sa gueule, mais tout, en lui, respirait la menace.

Quelque dragonnets étaient restés sur place. Ils tremblaient comme des feuilles. Le dragon de nuage baissa la tête vers eux, ouvrit grand la gueule qui semblait rougeoyer comme un brasier, et ne fit que leur souffler de l'air chaud dessus. Il n'empêche, ils poussèrent quand-même un cri et s'enfuirent. Le dragon releva la tête en poussant un grondement amusé, et dit :

Oh, mes propres petits ont peur de moi. J'en serais presque vexé...

Puis il s'approcha de la grande mère et de Flammèche :

Bonjour, ma déesse. T'ai-je manqué ?

(Tu l'as peut-être deviné : je me suis permis une intervention du grand dragon. Si ça te gêne, n'hésite pas, fait comme si je ne l'avais pas fait arriver Wink

)

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(Oui j'ai deviné xd, j'allais justement le faire intervenir. Smile)

La Grand mère avait vu juste, elle à vu le regard gêner, mais Flammèche assuré qu'elle ne recommencerais pas.
La Grand mère sourit et répondit:

Bien et as tu prévu d'avoir beaucoup de dragonnet ?
Mais soudainement quelque chose changea, atmosphère devenue plus sombre et plus froid.
Le sol devenais aussi glacé, une tornade se mis à faire rage...

La lumière du ciel disparaît petit à petit, le vent était violent, L'orage fit un bruit monstrueux.....
Flammèche demanda en criant se qui se passé, La grand mère répondit:

Votre père divin arrive ma chérie.
Les dragonnets divin se mis à paniqué, courir dans tout les sens, la Grand mère se mis à les prendre avec sa queue et ses pattes avant et les mettre contre elle.

Quand le Grand Dragon arriva à l'aide d'un nuage, il se mis à souffler un air chaud, la chaleur de l'enfer.
Le Grand Dragon se mis à rire et faire un commentaire sur la peur de ses enfants.
Puis il s'approcha de la Grand mère, cette dernière se leva et salua le Grand Dragon:

Bonjour Grand Dragon, disons que ta visite n'était pas prévu.
Qu'es que t'es venu faire ici ?

Aucun mal ne pouvait etre fait dans le monde de la Grand mère, le Grand Dragon n'avait aucun droit sur cette endroit.
Comme la Grand mère aucun droit dans le monde du Grand Dragon qu'on appelle Enfer.

"Dieu pardonne, pas moi."

(Les grands esprits de rencontrent Razz

)

"Leur père divin" ? Un instant... elle voulait dire LE père. Celui qui régnait sur les âmes déchus dans un royaume de ténèbres ? Celui qui était aussi maléfique que la déesse était bénéfique ? Par les lunes, autant Flammèche était ravie d'avoir rencontrer la déesse, autant lui, elle n'était pas du-tout pressée de le rencontrer, et les dragonnets non-plus, visiblement. Dans le monde de leur mère, il ne pouvait leur faire de mal, mais sa simple présence les terrifiait, ainsi que le fait qu'il pourrait enlever l'un d'entre-eux en s'en allant.

Les petits se blottirent contre les écailles de leur mère. Ils ne voulaient pas le regarder. Flammèche croisa un instant son regard de braise, et baissa la tête, tremblante, sentant tout courage lui échapper, aspirer dans le vortex de son corps nuageux. En réalité, elle se sentait aussi courageuse qu'un dragonnets venant d'éclore. Le dragon divin s'arrêta à distance respectable et inclina aimablement la tête envers la dragonne divine, quoi que son geste semblait un peu ironique. Et il lui répondit :

Tu me manquais. Mais surtout : j'ai senti un bouleversement dans l'ordre de mon royaume, ce qui m'a fort contrarié.

Contrarié ? Les couinements des dragonnets redoublèrent : le grand dragon était vraiment terrible, quand il était contrarié !

Il pointa une griffe sur Flammèche, qui se recroquevilla, et dit :

Cette dragonne et ses amis ont commis un crime, dans le monde des vivants, qui a perverti leur âme. Ils auraient dû m'appartenir, mais tu leur a pardonné. Du coup, leurs âmes m'échappent.

Flammèche ne pût retenir un soupir soulagé, ce qui lui attira le regard outragé du dieu. Il continua :

Ils sont à moi, et je suis venu les récupérer. Ou tout du moins, une compensation...

Il jeta un regard gourmand vers les rangées d'œufs sur les murs. Lui aussi possédait une couveuse, mais elle n'avait rien à voir avec celle-ci. Les dragonnets y étaient enchaînés et plongés dans le malheur et la douleur. Quand aux œufs, au lieu d'être éternellement chauffés par une douce lumière qui donnait l'impression qu'ils reposaient contre le ventre de leur mère, ils étaient placés dans une chaleur étouffante, cuits pour l'éternité. Le père se nourrissait des sentiments de peur et de douleur, et ceux des dragonnets étaient particulièrement délicieux. Bien-sûr, aucune jeune âme ne méritait ce sort. Il n'en avait que très peu, qu'il avait volé à leur mort, ou dont il avait piégé les parents pour qu'il la lui donne.

Je suis près à renoncer à ces quatre dragons,

continua-t-il,

en échange de quarante œufs de ta couveuse. Dix oeufs par dragon... ça me semble être un marcher équitable.

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(XD oui )

Flammèche voyais juste, il s'agit bien le père de tout les dragons, le côté du mal, un des équilibre de la vie.
Les dragonnets divin se mis contre leurs mère tout terrifié et apeuré, la Grand mère se mis à poser une question.
Le Grand Dragon commença à expliquer la raison de sa présence.
Il pointa sa griffe sur Flammèche et réclamer se qui lui est dû, la Grand mère n'interrompis pas et écouta le Grand Dragon.
Mais se qui demanda, ne plus pas la Deesse, mais elle garda son calme et répondit:

Tout nos enfants ont le droit aux pardons.
C'est déjà dure que tu prend des oeufs et des dragonnets d'une âme innocente de ton royaume de souffrance.
Mais en plus tu veux en prendre 40 des miens ?
N'as tu pas eu assez d'ame pour un temps ? la 1er Grande Guerre à déjà fait beaucoup de mort et très beaucoup était de vilain garçon et de vilaine fille.
Pendant 20 ans tu as pu avoir des âmes et en plus une 2eme grande guerre va éclater, tu devrais te calmer un peu.
Arrête de alimenter la haine de nos enfant Grand Dragon, au moins pour 1 siècle le temps qu'ils remonte leurs population.
Ils ont assez souffrit.
Alors laisse nos enfants en paix pour un temps, tu en auras des ames, certain de nos enfants, je ne peux pas les prendre, trop de haine, trop de souffrance, pas de volonté de laisser l'amour les gagné.

Elle se mis bien face au Grand Dragon pour proteger ses enfants.

"Dieu pardonne, pas moi."

Ils auront assez souffert quand JE l'aurais décidé,

répondit le grand dragon.

Autrement dit : jamais...

La déesse s'était levée pour protéger ses bambins, et le grand dragon lui faisait face. Envers elle, il ne montrait aucune hostilité, aucune violence, si ce n'est celle d'un dragon en-train de se disputer avec son épouse. Il la laissa parler jusqu'au bout, puis continua à protester :

Pourquoi devrait-je arrêter d’alimenter la haine, tendis que toi continuerais à alimenter l'espoir ? Mon sentiment a autant le droit d'exister que le tient. Et non, je n'ai pas assez d'âme. Je n'en aurais jamais assez, pas avec une simple petite guerre tous les cents ans.

Une simple petite guerre ? La grande guerre qui avait durée presque vingt ans ? Flammèche se dit qu'il exagérait...

Tu prends des âmes et ne me laisse que des miettes. Et j'en ai assez, je considère avoir droit à autant d'âme de nos enfants que toi.

Il baissa les yeux vers les dragonnets et se lécha les babines, sa langue ressemblant à une tornade rouge. Ils se cachèrent. Il releva la tête vers sa déesse et continua :

Les sentiments négatifs des petits sont délicieux, et je n'en ai pas assez dans ma couveuse. Mais c'est d'accord, puisque tu y tiens tant, garde donc tes précieux œufs dans ton monde de nuage et de lumière.

Il se mit à rire comme à une bonne blague, puis tendis une patte vers la grande mère :

Mais dans ce cas, rend moi les âmes de Flammèche, Blood, Tison et Écarlate.

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Le Grand Dragon avait visiblement pas envie que ses enfants ne souffre plus.
La Grand mère se mis devant les dragonnets divin et Flammèche.
Elle ne s'énervé pas, c'est juste une conversation, elle écouta bien le Grand Dragon.
La déesse se mis à regarder ses enfants durant un court instant et se mis à regarder le Grand Dragon bien contrarié et elle répondit:

Tu sais, nous pouvons pas géré leurs libre arbitre Grand Dragon et tu le sais.
Nous en avons pas le pouvoirs, chaque enfant fait ses choix, c'est juste que majeur partie d'entre eux préfère la lumière.
Mais ne favorise pas une guerre mon amour, je t'en supplie, si tu continue à faire des guerre tout les 20 ou 50 ans, nos enfants disparaîtrons et nous aurons plus d’âmes.
Tu ne récolte que les miettes parce que peu de nos enfant veulent souffrir pendant une éternité.
Se n'est que le choix de nos enfants, on ne peux pas décider à leurs place.

Puis le Grand Dragon fit une remarque sur ce qui le nourris et la Deesse se mis dans une légére colère qui fit trembler légérement la couveuse:

Si tu es là pour terrorisé mes dragonnets, j’exige que tu quitte le paradis sur le champs.

Après sa le Grand Dragon laissa les oeufs à condition que la Grand mère cède les 4 âmes de Flammèche et de ses amie.
La Grand Mère enroula Flammèche avec sa queue et le blottis contre elle et se mis à dire:

Tu sais bien qu'ils te vienne plus de droit, ni de la mienne.
C'est moi qui fait le travail de les faire naître Grand Dragon, donc c'est moi qui décide.
Ils sont pardonné, si tu les veux vraiment, tu n'as qu'a espéré qu'ils refonds un crime.
Mais vu se que je sens dans leurs cœurs, l'amour qui commence à les envahir, tu es loin d'avoir le droit de les avoir.
De plus mes oeufs n'ont rien à faire dans ton monde, tant que l’âme n'est pas à l'abandon et qui n'a commis aucun délit, tu n'auras aucun droit dessus.
C'est comme sa, tu devras t'y faire, mais je te demande de ne pas déclencher la 2eme grande guerre, tu fait trop de mal à nos enfants et ils ont le droit à la paix.

"Dieu pardonne, pas moi."

Non, le grand dragon ne pouvait pas décider de l'avenir de ses enfants, mais il pouvait les guider sur le mauvais chemin. Les dragons étaient souvent avares, cruels, sans pitié, rancuniers. Il suffisait qu'un désire négatif naisse pour qu'il en ait conscience, et apparaisse pour le faire mûrir comme un fruit noir. Ses plus beaux arbres pouvaient mener à la guerre, comme la soif de pouvoir des princesses de sable. Il visait les esprits faibles... la plupart des âmes de ses dragonnets et de ses œufs, il les avait obtenus en piégeant les parents les plus pauvres, leur offrant la richesse en échange de l'âme de leur progéniture décédée... et par la même occasion , il avait obtenu leurs âmes à eux, car lui offrir un dragonnet était au-delà de tout pardon. Il avait la proie et l'argent de la proie...

Les paroles du dieu firent trembler la couveuse céleste sous la colère de sa créatrice, ce qui effraya également les dragonnets. La mère était pleine de bonté et de pureté, mais en colère, elle était aussi effrayante. Le grand dragon rit, et prit un air faussement innocent :

Allons, ma déesse, du calme. Je ne suis pas venu pour leur faire peur. Ce n'est tout-de-même pas de ma faute si nos dragonnets sont effrayés par ma présence.

Il posa ses yeux de braise sur elle :

Cela-dit, j'adore quand tu le mets en colère. Tu es très belle. Dommage que tu tiennes à ton monde de lumière... tu serais une si belle reine des enfers.

La grande mère blottit Flammèche contre elle, et cette dernière, se sentant aussi effrayé que les autres petits, se serra contre elle. Plus tard, quand elle y repenserait, elle aurait honte d'avoir réagi comme un bébé, mais face au dieu, elle se sentait comme tel.

Le grand dragon dressa le museau, continuant avec son air faussement innocent :

La seconde grande guerre est déjà en marche. Même si je le voulait, je ne pourrais pas l'arrêter. Tout dépend maintenant de ton petit sain, Ombre, pour l'empêcher de commencer. Pour ce qui est de ces quatre âmes...

Il fit un pas en avant :

Je pourrais aussi te les prendre de force. Tu sais bien ce que déclencherait un combat entre toi et moi... il ébranlerait les fondements de ton paradis et de mon enfer, causant d'importants dégâts et détruisant le monde des vivants. Es-tu prête à prendre ce risque pour quatre âmes ? Parce que moi, oui. Ou alors...

Il se recula et dressa le museau :

Je peux te proposer une dernière alternative. Un simple paris, entre toi et moi. Bientôt, nos deux champions, Loracle et Ombre, se battrons, et un seul ne pourra en resortir vivant. Je te propose de parier de le vainqueur.

L'expression sur le museau du dieu fit comprendre une chose à flammèche : il voulait arriver à ça depuis le début !

Si Ombre gagne, non-seulement je renoncerais à ces quatre âmes, mais en plus, je te remettrais toutes celles prisonnières de ma couveuse. Tu imagines ? Tu pourras sauver tous ces pauvres petits innocents qui souffrent tant entre mes griffes. Par contre, si Loracle gagne, alors...

Les dragonnets frissonnèrent. Ils savaient ce qu'il allait dire :

Flammèche, Blood, Tison, Écarlate, et toutes les âmes de ta couveuse sont à moi.

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Même la Grand Mère pouvait influencer le chemin de ses enfants comme le Grand Dragon, mais elle laisser tout de même une libre arbitre par pur respect.
Mais elle faisais se qu'elle pouvait pour sauvez ses enfants de l'enfer.....
La Grand mère se mis légèrement en colère contre le Grand Dragon, se qui effraya les dragonnets, le Grand dragon se mis à répondre à la douce dragonne divine et se mis à faire un compliment.
La Grand Mère se mis à répondre avec une voix douce:

Tu sais bien que si je rejoins les ténèbres, il y aurais plus d'équilibre et je préféré la Lumière et le parfum de l'amour que l’obscurité et et la souffrance.

Flammèche se blottis bien fort contre la Grand mère, il y à avait aucune honte à son geste, personne ne pouvait faire face au Grand Dragon, pas même Ombre.
Le Grand Dragon comme la Grand Déesse ne pouvait pas mourir, ils ne pouvait que ressentir le bien et le mal.
Le Grand Dragon n'aimais pas sentir le bien comme la Grande Déesse n'aimais pas sentir le mal.
La suite ne plus pas la Grand Mère, le Grand Dragon avoué ne pouvoir rien faire pour empêcher la 2ème Grande Guerre.
Mais aussi fit une remarque si il devais prendre se qu'il veux par la force et se qui déclencherais.
La Grand mère fit les yeux noir et montré qu'elle ne le laisserais pas faire.
Mais le Grand Dragon proposa une Alternative, un simple paris.
Il parlait bien sur du combat entre Loracle et Ombre, mais pas que le Grand Dragon attendais, mais tout les ailes de nuit, conservateurs ou non.
La Grand mère à confiance envers Ombre, ce dragon la fait beaucoup honneur, même si Ombre n'a pas mal de fois utilisé des magie interdit comme sa fut le cas des 3 dragonnets aile de ciel qui devais mourir durant l’événement des éclosion.
Bien entendu le paris était très risqué, Loracle resté un puissant adversaire et même la Grand mère ne savait pas qui des 2 aller gagné.
Les forces était imaginable, alors elle prit un risque assez prometteur et elle répondit:

Je me doutais bien Grand dragon, tu attends ce combat depuis des siècles, tu sais que c'est époque important que le Cycle de leurs vie vont changé.
Parce que la vision de nos enfants va encore faire un pas vers l'évolution et ouvrir leurs esprit.
Tu sais aussi que si Ombre meurt, non seulement tu vas récolter tout les ames de ma couveuse en plus de nos 4 dragonnet vivant.
Mais en plus tu seras encore gagnant derrière parce que nos enfants vont rester dans le cycle des ténèbres et on va devoir attendre encore 10 000 ans pour que leurs cycle prochaine sois à leurs portée de patte.

Bien entendu la Grand Mère comme le Grand dragon savait que le charognard allemand qui va aider Ombre et Xyria dans leurs combat contre les conservateurs va lui aussi devenir un dragon et crée un nouveau Sang Pur.
Se qui n'arranger pas le Grand Dragon.....

Très bien Grand Dragon, j'accepte le paris.

"Dieu pardonne, pas moi."

Si tu essayais,

protesta le père à la remarque de la déesse, en faisant racler ses griffes sur le sol,

je suis certain que tu apprécierais le goût des ténèbres et de la douleur, plus encore que cette atmosphère lumineuse et gnangnan que tu appelles un paradis.

Mouais... et le grand dragon savait aussi que si elle essayait, elle ne pourrait plus revenir en arrière. Quand un dieu goûtait les ténèbres, elles l'envahissaient, comme lui. Mais il essayait depuis toujours de la tenter, se moquant bien de l'équilibre dans le monde des mortels. Contrairement à elle, qui le tolérait pour que l'univers garde ce fameux équilibre du bien et du mal, qui permettait aux choses de suivre leur cour.

La grande mère se lança dans un long discours. Le dieu la laissa finir, et ajouta :

Alors que si à l'inverse, Ombre survit et qu'il permet aux dragons d'évoluer, c'est toi qui sera gagnante, et je devrais attendre dix-milles ans avant que le doute et la colère étreigne à-nouveau le cœur de nos enfants au point de déclencher une nouvelle guerre. C'est un peu comme un autre pari entre nous, sauf qu'il a été mis en place par nos petits mortels.

Il baissa son regard cruel vers Flammèche :

Ces petits insectes... au final, il n'y a pas besoin de beaucoup, généralement, pour que je les pousse dans la fausse de mon enfer.

La grande mère accepta le pari. Flammèche baissa alors les yeux envers les dragonnets... ils tremblaient tous, effrayés à l'idée de ce qui les attendait si Ombre échoué. Et ce serait de sa faute...

Non,

protesta-t-elle.

Grande mère, attendez...

Elle fit un pas vers le dragon :

J'accepte de partir avec vous. Je vous en pris, prenez-moi, tout-de-suite, emmenez-moi en enfer. Je ne résisterais pas. Et épargnez les autres.

Trop tard, ma petite,

lui dit le père d'une voie joyeuse qui faisait froid dans le dos.

Ma déesse a accepté le pari, et quand deux dieux font un pari, il ne peut plus être rompu.

Et la magie divine les forçait à ne pas le rompre, ainsi même un menteur et un tricheur comme lui serait obligé de faire ce qu'il avait dit, si il perdait. Flammèche baissa le museau. Le grand dragon ajouta d'une voie cruelle :

Oh, tu t'inquiète pour les dragonnets ? Comme c'est mignon. Ne t'en fait pas : je te ferais enchaîner dans la couveuse, avec eux. Ainsi, tu pourras les observer souffrir pour l'éternité, en te répétant continuellement que c'est de ta faute.

Flammèche se sentait horriblement mal, déjà... elle pensait réellement que c'était de sa faute. Sans elle, la déesse n'aurait pas eu à accepter cet affreux pari. Mais elle se trompait : le grand dragon avait l'idée de ce pari depuis bien longtemps, il cherchait juste le bon moyen de pression pour forcer la grande mère à accepter... comme par exemple, soit elle acceptait, soit elle se battait contre lui pour des âmes qu'elle lui avait pris. Si ça n'avait pas était elle, il aurait piégé quelqu'un d'autre...

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Et merci énormément à tous les autres artistes ayant fait des œuvres sur ma dragonne, que je garde tous précieusement =)

Le Grand dragon essayer de donner envie à la grande déesse, cette dernière montré son dégoût et elle répondit:

Non sans façon Grand Dragon, c'est gentil de le proposer, moi je te propose de venir dans la lumière, tu prendras gout aussi.

La Grand mère savait que si elle restais trop longtemps la bas, les ténèbres pourraient l'envahir.
C'est pourquoi elle ne le fit pas.
Le Grand Dragon accepta se défis, il fit la remarque, la Grand mère se mis à répondre:

Il y auras toujours des guerres, le cycle va juste les bloqué dans l'évolution, rien de plus.

Flammèche se mis à protester et voulait prendre la place des dragonnets, la Grand mère se mis à crier légérement choqué:

FLAMMECHE !!!!

Mais le Grand Dragon lui fait comprendre que c'est trop tard et lui proposa que si Ombre meurt, elle pourras voir les dragonnets souffrir pendant l’éternité.
La Grand Deesse à prit un très gros risque, mais sa vaux la peine, elle savait que Ombre est jeune, mais aussi très puissant.
Donc elle garder espoir sur son petit mortel à qui elle à offert une hibernation.....
Elle sentais que Flammèche se sentait mal, elle le pris contre elle et la caressa pour la soulager.
Puis en même temps elle s'adressa au Grand Dragon:

Il y à t-il autre chose que tu souhaite parler Grand Dragon ?

"Dieu pardonne, pas moi."

Tu parles de cette chaleur douillette dans laquelle tu baignais ta couveuse avant que j'arrive ?

Demanda le grand dragon avec ironie.

Non, merci, ce genre de chose est fait pour les petits sains, pas pour les vraies dragons divins comme moi.

Flammèche voulait, effectivement, prendre la place des dragonnets, et de ses amis, également, si c'était possible. Ils étaient tous si petits, si innocents, et elle avait vu la joie qu'ils avaient en les observant jouer, un peu plus tôt... elle n'osait pas les imaginer changer de vie, et par sa faute. Le châtiment que lui prévoyait le grand dragon serait vraiment le pire de tous, les regarder souffrir. Ce serait un vrai désastre, tout-ça à-cause d'elle. Et cela choqua la grande mère, qui cria. Elle se recroquevilla et n'osa plus rien dire... si même cette déesse emplie de bonté s'énervait, mieux valait qu'elle reste à sa place.

Malheureusement, temps qu'elle se sentirait responsable de tout-ça, même les caresses chaudes et délicate de la mère ne la consoleraient pas. Le grand dragon était satisfait de son ouvrage, ici. La grande mère lui posa une question. Il répondit :

Non. J'ai obtenu de toi tout ce que je voulais.

Il baissa le museau pour être au niveau des dragonnets et demanda :

Alors ? Vous ne venait pas embrasser votre père avant qu'il ne s'en aille ?

Les dragonnets couinèrent, et ceux qui avaient la tête sortie se cachèrent soit derrière la déesse, soit dans un trou. Le dieu haussa les épaules et se redressa en disant :

Pas grave. J'aurais droit à toute votre "affection" dans peu de temps. Commencez à préparer vos bagages, vous allez bientôt déménager. Et toi, alors...

Il posa les yeux sur la grande mère :

... tu viens m'embrasser ?

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Alors nous sommes d'accord Grand Dragon, chacun ses soi. répondit simplement la Grande Déesse d'une voix douce et simple.
Flammèche avait tenter une folie, La Grande Déesse se mis à légèrement gueuler, pas de colère, mais choqué de se geste.
Flammèche ne disais plus rien à la suite de la réponse du Grand Dragon, le Grand Dragon avait tout dit, il fit une demande au dragonnets de le salué, mais aucun ne voulait.
Tout les dragonnets ne voulais pas et le Grand Dragon avec le sourire fit une remarque.
La Grande Déesse n'aimais pas à l'idée que si Ombre perdait, tout ses petit allait souffrir pendant des siècle.....
Puis le Grand Dragon fit une demande à la Grande Déesse, cette derniere répondit:

Pour un dieu qui n'aime pas l'amour tu souhaite m'embrasser ?

"Dieu pardonne, pas moi."

Le grand dragon espérait tant, de ce pari. Les âmes de ces quatre dragons étaient insignifiantes, pour lui, en réalité, ils ne représentaient que sa chance d'avoir ce qu'il voulait. Par-contre, toutes ces délicieuses jeunes âmes à dévorer pour l'éternité... que de bonheurs en perspective, pour lui. Mais surtout, il espérait faire ressentir de la douleur, de la tristesse à la grande mère en le voyant emporter toutes ces petites âmes, et ainsi, peut-être obscurcir son esprit. Qui sait, peut-être qu'en lui faisant suffisamment mal, elle finirait par le rejoindre dans les enfers pour régner à ses côtés, rompant l'équilibre et plongeant le monde des mortels dans d'éternelles ténèbres... ce qu'il voulait, au final, le but ultime de son existence. Et pour ce qui était de la grande mère, l'aimait-il ?

Lorsqu'elle lui posa sa question, le grand dragon fit une tête choquée, posa une patte sur son cœur et s'exclama :

Oh ! Tu es cruelle avec moi !

Il reprit son air habituel, souriant :

J'adore quand tu es comme-ça.

Le dragon s'approcha. La plupart des petits blottis contre la déesse s'enfuirent. Il posa une délicate griffe sur son menton et lui dit :

Allons, ce n'est pas parce que je suis le dieu qui met la haine et le désespoir dans le cœur de nos enfants que je ne sais pas ressentir l'amour. Tu sais ce que je ressens pour toi... et je sais que tu ne pourrais te passer de mon existence. Allez, avoue...

C'était en cela que ces dieux étaient condamnés : ils avaient fondé un monde, ensemble, mettant en place les premiers œufs. Mais même si le grand dragon éprouvé de l'attirance pour elle, leurs monde étaient séparés. C'était la raison pour laquelle il voulait la faire venir dans les ténèbres...

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La Grand Déesse ne souhaiter pas du tout que ses enfants finissent dans l'enfer du Grand Dragon, mais elle était loin de céder à son invitation, elle savait se que c'était l'enfer et il n'iras jamais la bas.
De toute manière, la Grande Déesse se mis jamais à bouger de son monde, elle rester là.
Parfois elle allait dans le monde des vivants pour les écouter priez en personne, sois essayer d'aider un enfant ou sois elle aimais les observé.
Le Grand Dragon ne pouvait pas obscurcis l'esprit de la Grande Déesse vu qu'elle est la créatrice du bien dans le monde des dragons.
Elle ne risquais pas de céder, elle incarné le bien.
donc se n'était qu'une perte de temps pour le Grand Dragon.

Le Grand Dragon fit l'air choqué et répondit à la Grande Déesse, la Grande Déesse se mis à répondre:

Je veux que tu quitte mon monde Grand Dragon, sinon tu vas finir dans la lumière.

Puis le Grand Dragon se mis à s'approcher, mis sa griffe sous le menton de la Grande Déesse.
Et fit la remarque, la Grande Déesse se mis répondre:

Oui je le sais, mais l'objet de ta visite ne m'a pas plus, donc j'aimerais en finir.

"Dieu pardonne, pas moi."

Moi, finir dans la lumière ?

Demanda avec ironie le grand dragon, en haussant un sourcil.

Me crois-tu faible comme un mortel ? Je ne peux céder à la lumière. Elle m'est complètement repoussante, c'est bien pour ça que je l'ai éteinte en arrivant dans ton monde.

Cela-dit, elle avait raison sur un point : ici, ses pouvoirs étaient amoindris. Ça ne l'empêchait malgré-tout pas d'être immense, impressionnant et terrifiant.

La grande mère voulait en finir, mais le grand dragon, lui, voulait un dernière chose. Alors il lui dit en approchant son museau du sien :

D'accord, je vais partir. Mais d'abord, je veux que tu me donnes un baiser. Tu sais, un tendre baiser d'amour, comme a l'époque où nous avons conçus les œufs d'origines des sept espèces des mortels. Allez, juste un, en souvenir du bon vieux temps, et je m'en vais sans faire plus d'histoire...

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Tu pourrais devenir faible en restant dans la lumière, sa m'arrangerai beaucoup, je pourrais t'avoir pour moi toute seule répondit la Grande Déesse au Grand Dragon.
Et elle pourrais avoir un total contrôle sur le Grand Dragon, mais elle ne pouvait pas, les lois divin l'oblige à respecter l'équilibre des choses.

Après sa elle disais qu'elle voulait vite en finir avec lui, le Grand Dragon se mis à s'approcher de son museau à celle de la Grande Déesse et fit une remarque.
La Grande Déesse répondit:

Très bien alors

Puis elle embrassa le Grand Dragon...

"Dieu pardonne, pas moi."

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