Stage de Wolfgang dans la Caserne Aile de ciel.

Péril répondit à la question de Wolfgang et après avoir vu quelque combat dans l'arène, elle soupira et avoua d'être jalouse.
Wolfgang demanda:

Vous n'avez pas essayer de trouver une solution a votre pouvoir ?

-Si, bien-sûr, répondit la reine Péril.

Elle observa l'une de ses pattes fumantes.

-J'ai même trouvé quelques solutions pour améliorer mon quotidien. Si vous voyez de nombreux objets, comme mon trône, faits en écailles d'ailes de boue, ce n'est pas pour rien. J'ai cherché des remèdes, et même les ailes de nuit ont essayé de me retirer cette malédiction...

Elle soupira :

-Mais au final, rien ne peut soigner ce mal qui est trop ancré en moi.

Elle sourit :

-Mais je suis reconnaissante au roi Ombre qui a pu le soigner chez mes dragonnets. C'est, visiblement, plus facile chez les jeunes. Et il a su leur laisser leur résistance à la chaleur, si bien que je peux les toucher sans danger.

Péril affirma à Wolfgang qu'elle a essayer de trouver des solution mais sans succès.
Mais elle parla du fait que Ombre est quand même réussi a amélioré son quotidien par rapport a ses enfants.
Wolfgang répondit:

C'est bizarre, j'ai entendu dire que vous avez refusez l'aide des ailes de nuits et que vous préférez garder ce pouvoir ?


Et au faite en parlant de vos enfant comment ils vont ? pas trop traumatisé après l'attaque ? car je sais que vos enfants on reçu des coups.

-Au début, j'étais un peu réticente, avoua la reine Péril, car cette malédiction est quand-même assez utile, surtout en temps de guerre. Les ailes de nuit ont cependant essayé d'en atténuer les effets, voir de me permettre de les contrôler. Mais ça n'a pas marché. Je suis... trop âgée, cette particularité s'est trop ancrée en moi au fil des années.

Elle soupira : elle avait été déçue de la défaite de cet espoir.

Elle fit un grand sourire à Wolfgang et lui répondit :

-Merci de vous inquiéter pour eux. Ils vont très bien. Ils ont été choqués, certes, mais les enfants sont des êtres forts. En fait, j'ai l'impression que Prince est devenu encore plus difficile à tenir qu'avant. Il mord les gardes qui s'approchent de sa soeur en croyant qu'ils vont les attaquer.

Elle grimaça :

-Ils font quelques cauchemars, mais ma présence suffit à les calmer.

Péril avoua qu'elle avait des doutes sur la solution mais au final sa n'a pas était trouver car cette chose étais trop ancrée en elle.
Mais que malgré tout, sa vie n'étais pas un enfer comme avant.
Wolfgang dit:

Je vois, dommage que Ombre n'a pas amener des scientifiques  de mon pays, je suis sur qu'il aurais était ravi d’étudier votre problème et de trouver une solution a votre problème.


Péril fit un grand sourire au sujet suivante, elle remercia Wolfgang et assura que ses petit vont bien.
Mais elle raconta des choses assez rigolote mais aussi que les petit garder cauchemars.
Wolfgang répondit:

Oui c'est bien normal, sa va prendre du temps, mettez leurs des choses qui les rassure bien.

Péril poussa un rire et elle fit une remarque sur les médecin et elle fit une supposition, Wolfgang dit:

Il y à des bon et des mauvais chez nous aussi, mais je vous parle des bon bien sur.


concernant les dragonnet de Péril, Péril fit une remarque, Wolfgang dit:

Oui mais sa va prendre du temps, voir des horreur a cette age la c'est pas bon et ils ne sont pas prêt après se genre d'horreur.


Puis Wolfgang vu que un des lutteur commencer à mettre au sol son adversaire, Wolfgang souris et il dit:

Ah enfin il la mis à terre.

La reine Péril haussa les epaules a propos des medecin et elle fit une remarque.
Wolfgang dit:

Detrompez vous, on reponds toujours au defis et peut importe le domaine.


Wolfgang fit une remarque sur les dragonnet, sur le fait que sa va prendre du temps pour que les petit se remette.
Péril fit une supposition, Wolfgang dit:

Oui j'ai déjà mener des gamins dans mon régiment qu'on ma affecter.


Puis Péril assura que ses petit se remettrons, Wolfgang dit:

Tant mieux alors.


Feufollet donna le vainqueur, tous applaudis le vainqueur, le perdant se releva et salua le vainqueur et repartie.
Wolfgang se leva et applaudis lui aussi.
Puis à la remarque de Péril, Wolfgang demanda:

Qu'avez vous en tête ?

La reine Péril fit un signe du museau et répondit à Wolfgang :

-Alors si un jour j'en ai l'occasion, je laisserais peut-être vos hommes de confiance se pencher sur mon cas...

Elle secoua cependant le museau et ajouta :

-Mais je doute qu'ils puissent faire quoi que ce soit. Et même si c'était le cas : m'approcher est extrêmement dangereux. Je m'en voudrais que quelqu'un se blesse en essayant de me soigner.

Ah, non, ce n'était pas de ça qu'elle parlait... :

-Je parlais de vous, répondit Péril. Mais ce que vous me dites est tout-aussi horrible.

Elle ne le lui reprochait pas à lui, plutôt à ceux qui avaient fait une telle chose : enrôler des enfants dans l'armée et les forcer à se battre.

-Et ont-ils été doués dans la bataille ?

Tendis qu'ils acclamaient le vainqueur et que Feufollet demandait :

-Un tonnerre d'applaudissement également pour ceux qui n'ont pas gagné, car ils ont fait preuve d'un grand courage de ces combats !

Et qu'une nouvelle acclamation montait, Wolfgang posa une question à Péril. Elle poussa un petit rire et lui répondit :

-Oh, rien de précis, pour le moment. Il fait déjà parti d'une section de mon armée. Mais c'est un jeune et il s'agit de sa première épreuve de lute... il est prometteur, c'est tout ce que je dis, et je garderais un œil sur lui.

Péril fit signe du museau à la remarque de Wolfgang et elle y répondit à Wolfgang concernant les medecin.
Mais elle ne voulais pas qu'il se blesse par accident.
Wolfgang dit:

Ils saurons prendre leurs précaution si jamais il venais.


Peril fit savoir à Wolfgang qu'elle ne parler pas des gamin que Wolfgang a du prendre mais lui en faite.
Wolfgang dit:

Euh moi je n'ai pas vécu durant la 1ere guerre mondiale, mais j'ai vécu ses consequence de l'après guerre.


Mais Péril demanda si les enfant allemand etaient doué.
Wolfgang dit:

Certain oui, d'autre non.


Puis pendant les acclamation Feufollet fit une demande, tous applaudis les vaincus.

Wolfgang posa une question a Péril, cette dernière n'avancer en rien concernant le vainqueur, Wolfgang ne répondit pas mais il avait compris.

-Vous avez des précautions contre des chaleurs tellement fortes que les roches volcaniques fondent quand je les touche ? Demanda Péril.

Car c'était exactement l’amplitude qu'était capable d'atteindre sa chaleur. Elle voulait bien croire que Wolfgang était doué, mais elle avait quelques doutes que ce soit à ce point...

La reine secoua le museau à ce que lui dit Wolfgang et affirma :

-Je sais, je m'en souviens, Wolfgang. Mais j'aime à penser que les conséquences de la guerre sont tout aussi horribles que la guerre elle-même. Vous avez dû vous battre pour survivre. Une bataille différente, certes, mais une bataille quand-même...

Et bien qu'elle s'en doutait, elle voulut savoir :

-Et qu'est-ce qui est arrivé aux moins doués ?

Après les lutteurs, les épreuves passèrent les unes après les autres. D'abord d'autres combats, cette fois-ci à l'aide d'armes en bois, puis de la lutte aérienne. Puis des courses, d'abord à pattes, puis en plein vol, toujours ponctués des commentaires de Feufollet...

Péril demanda, à un moment :

-Est-ce que ça vous plait ?

Péril posa une question, Wolfgang dit:

Je pense que oui, nos savant et médecin pourrons nous le confirmé si ils viennent un jour.


La reine secoua le museau à la réponse de Wolfgang et elle fit une remarque concernant les batailles mener.
Wolfgang dit:

Oui mais dans mon monde, la guerre, les batailles je l'es ai perdu.


Et à la question suivante de Péril sur les enfant qui se sont battu au côté de la Wehrmacht.
Wolfgang dit:

Certain on fuis, ils ont étaient arrêter et exécuté.
Certain sont mort au combat, d'autre etait hors de combat et traumatisé.


Après quelque spectacle, Wolfgang resta silencieux et a la demande de Péril, il dit:

Oui sa me plait.


C'est pas mal du tout.

-Mh... alors je serais intéressée de voir cela.

La reine Péril secoua le museau et termina en disant :

-Oh, mais autant ne pas me bercer de faux espoirs : je sais que le roi Ombre ne veux pas faire venir plus des vôtres dans notre monde, et je serais surement morte quand vos semblables auront trouver la technologie nécessaire pour voyager entre les dimensions.

Wolfgang pensait avoir perdues les batailles dont parlait la reine Péril... mais elle n'était pas d'accord avec lui :

-Vous êtes vivant, non ? Demanda-t-elle.

Elle posa un profond regard sur lui et lui expliqua :

-Je parle des batailles que vous avez dû mener depuis votre naissance. Pour survivre, pour manger, pour ne pas devenir fou, pour garder espoir. Même si vous pensez l'avoir perdue, c'est faux : vous êtes là. Donc, vos batailles personnelles, vous les avez remportées.

Péril cligna des yeux à ce que lui raconta Wolfgang sur les enfants... exécutés. Ça lui rappelait, encore une fois, Scarlet, qui faisait tuer les dragonnets nés hors du programme de reproduction... et évidemment : c'était elle qui avait dû le faire.

Elle demanda :

-Vos meneurs n'avaient donc aucune honte ?

Wolfgang appréciait le spectacle. Péril sourit... :

-J'en suis ravie.

Et elle resta silencieuse jusqu'à la dernière épreuve, qui consistait à un grand tiré de cordes par vingts dragons du ciel costauds, dix de chaque côté, à-côté d'une flaque de boue.

-Mf, fit-elle. Tiré la corde... je trouve un peu ça ridicule, pour finir, comparé au reste, non ?

Péril avoua que sa serais intéressant de voir sa et concernant l'arriver d'autre humain, Péril fit une remarque.
Wolfgang dit:

Oui mais de toute façon c'est pas une très bonne idée de amener d'autre humain ici.


Mais se que dit Wolfgang par la suite sur les defaite qu'il a eu, Péril se montra pas en accord avec lui et elle fit une remarque.
Wolfgang dit:

Vivant ? se n'est qu'une victoire temporaire, mais j'ai perdu sur d'autre front.
Dans votre monde, mes anale ne sont que de quelque petit victoire.
Mais l'affrontement qui mettras l'avenir de votre société en danger.
Sois vous tomber et le monde deviens conservateur, ou sois avec la foi et la détermination a la victoire, les conservateur se feront exterminé et vous mènerais avec d'autre monarque a la liberté et le droit des dragons.


Péril cligna des yeux a la réponse de Wolfgang sur le sort des enfant allemand qui ont fait la guerre et elle se montra dégoûté, mais posa une question.
Wolfgang répondit:


Non, personne devais fuir a son devoir alors que la patrie était en danger.
Tout retraite ou desertion était passible a la peine de mort.


Wolfgang apprécia le spectacle, Péril fut ravi et après quelque instant de silence, le tir a la corde de 2 equipe de 10 se préparé.
Péril fit une remarque et posa une question, Wolfgang dit:

Non j'aime bien, je le fait aussi avec mon regiment et d'autre aussi

-Vraiment ? Demanda la reine Péril à ce que lui dit Wolfgang.

Il était clair qu'apporter une guerre d'espèce dans leur monde serait un immense problème. Mais pour le reste, elle se demander en quoi ramener des humains dans son monde en serait un, si ils étaient correctement choisis...

Alors elle se tourna vers lui pour lui demander :

-Pourquoi ?

Péril soupira à la longue réponse de Wolfgang en secouant le museau et lui dit :

-Wolfgang, vous êtes bien trop sérieux et vous pensez trop à ces combats, même dans un moment où je tente de vous détendre et où je ne vous parle pas de la même chose.

Elle se tourna vers lui :

-Oui, survivre est une victoire éphémère. Si on part dans ce sens : naître est lui-même une victoire éphémère. Et encore, vous, vous n'avez pas eu à briser un œuf pour y arriver. Cette guerre que nous menons, c'est pour nous permettre de garder notre monde libre, c'est vrai, et vous avez eu des défaites dans ce genre. Mais je voudrais que vous songiez à vos victoires personnelles. N'êtes-vous pas fier d'avoir survécu pour mener ces vraies batailles ?

Elle se dressa :

-Je ne suis pas fière de ce que j'étais, autrefois, mais je suis fière de ce que je suis devenue aujourd'hui.

Péril soupira à ce que lui raconta Wolfgang, et dit :

-Un enfant ne devrait pas avoir de devoir de ce genre. Il devrait apprendre à respecter son devoir, jusqu'à en avoir l'âge. Tellement d'innocences détruites...

Comme la sienne.

Péril se gratta le menton à la réponse de Wolfgang, tendis que les équipes prenaient la corde entre leurs mâchoires et commençaient à tirer... :

-Mmmh... vous avez peut-être raison, dit-elle. Ce n'est surement pas si mal de finir avec une épreuve pas prise de tête, pour la fin...

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